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Label XXe
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édifice / site
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Église paroissiale Sainte-Catherine
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localisation
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Aquitaine ; Lot-et-Garonne ; Villeneuve-sur-Lot
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anciennement quartier de : Bastide
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adresse
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rue de Penne
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dénomination
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église paroissiale
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époque de construction
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4e quart 19e siècle ;1er quart 20e siècle
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année
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1898 ; 1911
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auteur(s)
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Corroyer Edouard Jules (architecte) ; Roy Lucien (conducteur de travaux, architecte) ; Rapin Gaston (conducteur de travaux, architecte) ; Bourlange Antoine (sculpteur)
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personnalité(s)
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Grenouilleau (commanditaire) ; Leygues Georges (commanditaire)
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description
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Le projet de reconstruction de l'église paroissiale Sainte-Catherine commence au milieu du XIXe siècle à l'initiative de l'abbé Grenouilleau. Suite à l'effondrement d'une voûte de l'ancienne église en 1897, Georges Leygues demande à l'architecte des Monuments Historiques, Jules Edouard Corroyer, le plan d'une nouvelle église. Il propose une église de style romano-byzantin dont le plan est inspiré des basiliques du haut Moyen-Age. Il est agencé autour d'une nef à bas-côtés auxquels se greffent des chapelles en hémicycle et d'un choeur à chevet polygonal. Le couvrement est constitué d'une série de coupoles recouvertes d'un toit à deux pans. La construction adjugée à l'entreprise Corne et conduite par Lucien Roy, élève de Corroyer, débute en 1898. Après la mort de Corroyer en 1904, Lucien Roy se charge du projet, tandis que Gaston Rapin, architecte de Villeneuve-sur-Lot dirige le chantier. Les travaux sont interrompus pour des raisons financières et reprennent en 1909 grâce à un don de Georges Leygues. Le choeur, au nord, est consacré en 1911. Le projet est augmenté la même année d'un clocher plus élevé, octogonal dans sa partie supérieure, sur le modèle de Saint-Sernin de Toulouse. Une tourelle d'escalier hors-oeuvre s'adjoint à celui-ci. Le porche en narthex est commencé en 1912 et achevé en 1924. L'église est construite en béton armé, recouvert d'un parement de briques, fabriquées à Villeneuve-sur-Lot par l'entreprise Berger. Les voussures du portail, sculptées en pierre blanche, contrastent avec la brique rouge. Ce jeu avec les matériaux se répète dans le fronton au dessus du portail mêlant colonnettes de pierre sombre et supports en pierre blanche qui se détachent sur le mur de brique. Les trois travées de la nef sont rythmées par des baies à trois arcades inspirées des baies thermales. A l'intérieur les colonnes sont traitées en granit poli avec des chapiteaux sculptés par Antoine Bourlange, sur les modèles de Moissac et Toulouse.
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plan
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plan allongé
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étages
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3 vaisseaux
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escaliers
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escalier hors-oeuvre
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gros-oeuvre
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brique ; béton armé
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couverture (type)
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toit à longs pans ; pignon découvert ; croupe polygonale
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couverture (matériau)
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tuile creuse
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couvrement
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coupole ; cul-de-four
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décor
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sculpture ; peinture
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représentation
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colonne ; ornement à forme architecturale
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propriété
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propriété de la commune
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type d'étude
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label patrimoine du XXe siècle
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date labellisation
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2007/03/15 : label patrimoine du XXe siècle
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rédacteur(s)
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Préault Clémence ; Laborderie Anne
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référence
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EA47000005
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© Ministère de la culture et de la communication, direction générale des patrimoines
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enquête
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2006
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date versement
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2014/05/23
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autre dossier
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dossier d'inventaire
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