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Réponse n° 48

  Inventaire général du patrimoine culturel
édifice / site usine de bougies ; puis cartonnerie (usine de carton bitumé) Hyde, puis Soubies s. a., puis société centrale des Usines à Papier
localisation Haute-Normandie ; Seine-Maritime ; Le Petit-Quevilly
aire d'étude Seine-Maritime
adresse 86 rue Paul Foliot
dénomination usine de bougies ; cartonnerie
parties non étudiées bureau d'entreprise ; atelier de fabrication ; entrepôt industriel ; cheminée d'usine
époque de construction 3e quart 19e siècle ; 1er quart 20e siècle ; 2e quart 20e siècle
auteur(s) maître d'oeuvre inconnu
historique En 1850, William Hyde fonde une première cartonnerie à Sotteville-lès-Rouen, rue Armand Barbès qui est détruite par un incendie en 1903. La production et les machines sauvées du feu sont transférées dans une ancienne usine de bougies à Petit-Quevilly. Aux bâtiments primitifs construits dans les années 1860 réutilisés comme entrepôts, sont adjoints de nouveaux ateliers en charpente métallique où est traité le carton bitumé et ou sont goudronné, entoilé et huilé les divers papiers d'emballage fabriqués par la société Hyde. L'usie mobilisée a fournit durant la première guerre mondiale le carton employé pour la construction des baraquements. En 1919, l'usine est rachetée par A. Soubies qui entreprend dès 1923 de gros travaux de réaménagement. A cette date est fondée la société anonyme Soubies s. a. Le 19 mars 1929, l'atelier central est dévasté par un incendie, la chaudière et la machine à vapeur mises hors servcie. L'usine est à nouveau reconstruite et équipée d'outillage moderne utilisé pour la fabrication des papiers d'emballage imperméabilisés. En 1930, sa production journalière est en moyenne de 80 000 m². En 1940, les établissements Soubies sont rachetés par la société centrale des Usines à Papiers dont l'activité se maintient jusque dans les années 1960. Transformée temporairement en garage de réparation automobile, l'usine est aujourd'hui désaffectée, en mauvais état et menacée de destruction.
description Les entrepôt industriel en brique sont en charpente en bois. Les ateliers de fabrication et le bureau, en appareillage de brique et silex, sont en charpente métallique. La chaufferie en brique et charpente métallique est en rez-de-chaussée surélevé.
étages en rez-de-chaussée surélevé
gros-oeuvre brique ; silex
couverture (type) toit à longs pans ; pignon couvert ; terrasse
couverture (matériau) tuile mécanique
couvrement charpente en bois apparente ; charpente métallique apparente
état mauvais état ; menacé
propriété propriété privée
type d'étude patrimoine industriel (agglomération de Rouen)
rédacteur(s) Emmanuelle Le Roy-Real
référence IA76002089
  © Inventaire général
enquête 1996
date versement 2002/12/03
date mise à jour 2004/12/03
crédits photo Kollmann, Christophe - © Inventaire général, ADAGP
 
service producteur Conseil régional de Haute-Normandie - Service chargé de l'inventaire
2, rue Maladrerie 76000 Rouen - 02.32.08.19.80
 
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Requête ((usine de traitement des corps gras) :DENO )
Relations Synonymes=1 Spécifiques=9 Génériques=0