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Inventaire général du patrimoine culturel
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édifice / site
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maisons, fermes
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localisation
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Aquitaine ; Dordogne
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aire d'étude
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Val de Dronne
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dénomination
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maison ; ferme
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collectifs
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3605 bâti INSEE ; 595 repérées ; 26 étudiées
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époque de construction
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16e siècle ; 17e siècle ; 18e siècle ; 19e siècle ; 20e siècle
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historique
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Les maisons et les fermes repérées sont datables du 16e au 20e siècle. Il convient pourtant de préciser que rares sont les bâtiments antérieurs au 18e siècle. De plus, les transformations et le remploi de matériaux anciens, d'éléments architecturaux, tels les fenêtres à réseaux, ou ornementaux, rendent d'autant plus complexe la lecture et la datation des maisons et des fermes. L'organisation du logis est généralement très simple : une pièce à vivre comportant une cheminée et un évier, et éventuellement une seconde chambre. Les dépendances agricoles sont généralement isolées des maisons-fermes qui leur correspondent.
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description
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Les maisons et les fermes sont construites en calcaire. La maçonnerie extérieure est assez souvent protégée et dissimulée par un enduit (75, 8%). L'état actuel de ces enduits permet de déterminer pour une grande partie des constructions les matériaux employés pour la maçonnerie. Celle-ci est majoritairement constituée par des moellons calcaire (77%). La pierre de taille, généralement utilisée pour les chaînages d'angle, les travées et les encadrements de baie, peut parfois occuper toute une façade (19, 1%). L'emploi d'autres matériaux est plus limité, mais on peut parfois rencontrer de la brique (1, 9%) , du pan de bois (1, 4%) , du torchis (0, 3%) et enfin du grès ferrugineux (0, 3%) en faible quantité. Trois cas de maisons à pans de bois ont été inventoriées dans la Double (deux à Saint-Michel-l'Ecluse, dans la commune de la Roche-Chalais et une à Servanches). L'une est remplie de briques et l'autre de torchis. On rencontre principalement deux types de toit dans le canton de Saint-Aulaye, à savoir la toiture simple à deux pans (63, 9%) et la toiture se terminant par une croupe ou une demi-croupe (32, 9%). Quelques cas de toits en pavillon, de toiture contrariée, conique ou complexe occupent une infime partie de cette typologie. Concernant les matériaux de couverture, les tuiles creuses traditionnelles, adaptées aux faibles pentes, sont les plus utilisées (44%) , mais sont de plus en plus remplacées par la tuile mécanique qui adopte différents profilés (40, 2%). La tuile plate couvre surtout les croupes ou les toitures très pentues (13, 9%) ; l'ardoise, quant à elle, devient exceptionnelle et couvre en priorité de grandes demeures bourgeoises à partir du 19e siècle (1, 8%). En ce qui concerne le traitement sous égout, il est intéressant de noter que le voligeage est totalement absent. Il est remplacé en priorité par le chevron visible (39, 7%) , la corniche étant également bien présente (33, 8%). La génoise est moins utilisée (26, 6%) , mais on peut préciser que c'est celle à deux rangs qui ressort davantage.
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gros-oeuvre
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calcaire ; moellon ; pierre de taille ; enduit ; brique ; pan de bois ; torchis ; grès
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couverture (matériau)
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tuile creuse ; tuile mécanique ; tuile plate ; ardoise
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typologie
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logis seul ou séparé des bâtiments agricoles ; façade de ville ; édifice à corps de bâtiment unique abritant logis et dépendances ; logis et dépendances accotés sur un plan rectangulaire ; plan massé divisé en profondeur ; logis et dépendances indépendants mais organisés en L ; plan massé divisé en L
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type d'étude
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inventaire topographique
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rédacteur(s)
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Becker Line
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référence
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IA24000830
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© Inventaire général ; © Conseil général de la Dordogne
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enquête
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2000
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date versement
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2004/01/21
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date mise à jour
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2008/11/13
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dossier en ligne
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Contact service producteur
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service producteur
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Conseil régional d'Aquitaine - Service chargé de l'inventaire 54, rue Magendie 33077 Bordeaux Cedex - 05.57.95.02.02
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