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Inventaire général du patrimoine culturel
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édifice / site
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maisons et fermes du Val-d'Ajol
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localisation
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Lorraine ; Vosges ; Le Val-d'Ajol
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aire d'étude
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Plombières-les-Bains
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dénomination
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maison ; ferme
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collectifs
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1419 bâti INSEE ; 146 repérées ; 23 étudiées
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époque de construction
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17e siècle ; 18e siècle ; 19e siècle ; 20e siècle
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historique
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Dates portées : 1618, 1622, 1625, 1633, 1668, 1698, 1706, 1712, 1713, 1722, 1725, 1730, 1735, 1736, 1737, 1740, 1756, 1762, 1769, 1773, 1775, 1776, 1777, 1778, 1780, 1781, 1787, 1791, 1792, 1794, 1803, 1806, 1807, 1809, 1811, 1812, 1813, 1814, 1816, 1822, 1823, 1824, 1830, 1834, 1843, 1845, 1849, 1851, 1860, 1861, 1862, 1863, 1865, 1868, 1872, 1873, 1877, 1884, 1886, 1891, 1897, 1901, 1902, 1903, 1905, 1912, 1925, 1927, 1939
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description
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La ferme dite "ajolaise" ou plus largement celle du canton de Plombières-les-Bains offre des spécificités propres à cette micro-région, à l'origine de son appellation souvent rencontrée de "ferme éclatée". Cette expression apparaît discutable dans le sens où elle suppose un éclatement dans l'espace des fonctions, ce qui n'est pas tout à fait exact. Les spécificités concernent surtout l'habitat isolé, où l'espace libre autorise la construction d'annexes, sont : le chalot ou grenier à grains (en bois, parfois intégré à un hangar en bois), une remise pour le matériel agricole, appelée "grangeatte" comme celle qui est attenante au bâtiment principal (à l'étage, se trouve souvent un grenier ou un atelier, parfois de sabotier, la "boutique"), le four à pain et sa pièce technique attenante, la "chambre à four", la fontaine (abreuvoir, le plus souvent monolithe, alimenté par une conduite à l'origine en bois ou un aqueduc en pierre, souvent protégé par un toit en appentis ou à 2 versants inégaux), éventuellement un rucher, le réduit à porcs ou "ran à cochons" (modeste bâtiment comprenant le plus souvent deux loges pour les porcs, nourris par des portes abattantes en façade, avec toit à 2 versants), éventuellement une forge, une cave. (semi-enterrée, elle est couverte d'un toit de "laves" à 2 versants posées sur "motte),un poulailler enfin parfois un travail à ferrer les bœufs, construit en charpente. Il faut cependant préciser que l'on ne rencontre pratiquement jamais toutes ces annexes en un même lieu, mais seulement une partie d'entre elles. La disposition de ces annexes apparaît assez aléatoire et s'organise en partie en fonction de la voirie. Toutefois, elles délimitent un espace de circulation que l'on peut qualifier de cour ouverte, bien qu'aménagé de façon sommaire, si l'on excepte une bande de terrain le plus souvent dallée devant le bâtiment principal.
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type d'étude
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inventaire topographique ; enquête thématique régionale (architecture rurale des Hautes-Vosges)
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rédacteur(s)
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Georgel (J.-F.) ; Guillaume Jacques
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référence
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IA88000112
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© Région Lorraine - Inventaire général
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enquête
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1994
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date versement
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2012/06/27
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Contact service producteur
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service producteur
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Conseil régional de Lorraine - service régional de l'inventaire général
Hôtel Ferraris - 29, rue du Haut Bourgeois 54000 Nancy - 03.83.32.90.63
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