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Inventaire général du patrimoine culturel
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édifice / site
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prieuré bénédictin Notre-Dame, actuellement maison de retraite
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localisation
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Picardie ; Aisne ; Braine
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aire d'étude
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Braine
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adresse
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24 place Charles-de-Gaulle
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hydrographie
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Vesle (la)
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destinations successives
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gendarmerie ; haras ; maison de retraite
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dénomination
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prieuré
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parties non étudiées
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écurie ; jardin d'agrément
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jardin
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groupe d'arbres ; parterre ; pelouse
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époque de construction
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3e quart 17e siècle ; 1er quart 19e siècle
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année
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1663
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auteur(s)
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maître d'oeuvre inconnu
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personnalité(s)
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Bouillon Henry-Robert de La Marck, duc de (commanditaire)
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historique
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Henry-Robert de La Marck, duc de Bouillon et comte de Braine, fonde le 31 octobre 1647 le prieuré de bénédictines Notre-Dame, qu'il dote des biens de l'ancien hôtel-Dieu et de la maladrerie Sainte-Anne. L'église prieurale est consacrée en 1663. À la veille de la Révolution, l'établissement est occupé par dix-neuf religieuses de choeur et quatre soeurs converses, qui tiennent un pensionnat très fréquenté. Fermée en 1791, l'église devient le siège de la paroisse après le Concordat. Elle est détruite lorsque l'ancienne église abbatiale Saint-Yved est rendue au culte en 1837. Dans les anciens bâtiments conventuels, entre temps affectés à un régiment de gendarmerie, est installé en 1816 un dépôt d'étalons pour les départements de l'Aisne et des Ardennes. Une écurie de trente chevaux est construite en bordure du jardin, mais un projet de manège couvert, présenté en 1824, n'a jamais été mené à bien. Malgré ces aménagements, le haras manque de place et est transféré à Compiègne par décret du 29 mai 1875. L'ancien prieuré abrite depuis 1891 la maison de retraite Bon-Repos confiée à la Congrégation des soeurs de l'Enfant-Jésus de Soissons.
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description
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Les bâtiments sont disposés selon un plan régulier et couverts de toits à longs pans. Au fond de la cour se dresse le corps de logis principal, haut de trois niveaux sur sous-sol, et dont la façade postérieure se déploie sur le jardin. Une aile en retour d'équerre à gauche sépare la cour du cloître, qui était fermé à l'est par l'église prieurale détruite. L'écurie forme un long corps de bâtiment bordant le jardin à l'est, perpendiculaire au corps de logis. Les avant-corps latéraux sur jardin du bâtiment principal sont couverts d'un toit brisé. Le jardin paysager assez profond est traversé et bordé au fond par deux bras de la Vesle qui traverse la ville.
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plan
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jardin mixte
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élévation
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élévation à travées
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étages
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sous-sol ; 3 étages carrés ; comble à surcroît
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escaliers
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escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours avec jour, cage ouverte
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gros-oeuvre
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calcaire ; pierre de taille ; moyen appareil
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couverture (type)
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toit à longs pans ; toit à longs pans brisés ; croupe brisée
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couverture (matériau)
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ardoise
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propriété
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propriété d'une association cultuelle
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type d'étude
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inventaire topographique
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rédacteur(s)
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Fournis Frédéric
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référence
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IA02002254
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© Inventaire général
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enquête
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2003
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date versement
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2007/12/05
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Contact service producteur
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service producteur
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Conseil régional de Picardie - Service de l'Inventaire du patrimoine culturel 88, rue Gaulthier de Rumilly 80000 Amiens - 03.22.97.16.57
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