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Inventaire général du patrimoine culturel
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édifice / site
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jardin d'agrément de Sainte-Claire-le-Château
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localisation
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Provence-Alpes-Côte d'Azur ; Var ; Hyères
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aire d'étude
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Hyères
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adresse
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1ère maison rue Sainte-Claire
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dénomination
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jardin d'agrément
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édifice contenant
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maison dite Sainte-Claire-le-Château
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4
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parties non étudiées
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terrasse en terre-plein ; pergola
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jardin
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pièce de gazon ; plate-bande ; rocaille de jardin ; massif de fleurs
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époque de construction
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milieu 19e siècle ; 2e quart 20e siècle
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siècle détail
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4e quart 20e siècle
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année
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1920
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auteur(s)
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Wharton Edith (auteur commanditaire)
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historique
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On ne sait rien de l'état du jardin lors de la constitution progressive du domaine par Olivier Voutier. L'emprise actuelle en est une réduction, car il avait acheté quasiment toute la colline, avec ses oliviers. Il se fit enterrer sur place. Lorsque Edith Wharton loue la propriété en 1920, elle aménage peu à peu son jardin et les terrasses dont elle fait, selon ses amis, un petit paradis. En 1928 le jardin est complet. Au début de 1929 le gel ravage toutes les plantations. Elle trouve "le meilleur jardinier de la Riviera", resté anonyme, fait avec lui le tour des pépinières et des serres et fait venir un spécialiste en rocailles. A la fin de l'année tout est à peu près remis en état. L'état actuel résulte de la reprise en main par la Ville comme jardin public.
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description
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Le jardin d'un hectare est entièrement installé sur une succession de terrasses qui s'appuient sur les escarpements rocheux du front ouest de la ville haute. Dans la partie haute, les vieux oliviers et les aloès rustiques avaient été conservés. C'est là, en bordure de la courtine de l'enceinte, que se trouve la tombe d'Olivier Voutier. Des iris pourpres et des kennedias bordaient l'avenue longeant le mur de soutènement de la terrasse au sud de la maison, ombragée par 2 arbres remplacés ensuite par des phoenix canariensis. La végétation des terrasses, dont le tracé suit les irrégularités naturelles, formait des masses fleuries colorées, avec de nombreux arbustes, des arbres de Judée, un énorme caroubier ceinturé de violas. Du lierre recouvrait la tour ronde au milieu d'un tapis de pervenches, violettes, orchidées et anémones. Au-dessus de la maison, une pièce de gazon occupait toute une terrasse bordée de cyprès et que ponctuait un banc sous une pergola envahie par un rosier. De là, quelques marches descendaient vers la terrasse dont les mandariniers se détachaient des plates-bandes de freesias jaunes et encadraient l'allée centrale, avec une palissade d'arcades de cyprès sur le côté est. Au-dessous s'étendait la terrasse des orangers, conçue de même. En remontant, on trouvait une terrasse de rosiers, une autre était un parterre fleuri d'héliotropes, de jonquilles et autres fleurs printanières. A l'ouest de la maison le jardin tropical et de rocaille où les plantes prospéraient était réputé. Juste au nord, la pergola s'élevait d'un tapis de violas et de tulipes.
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plan
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jardin mixte
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élévation
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jardin en terrasses
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gros-oeuvre
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pierre ; moellon
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état
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restauré
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propriété
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propriété de la commune
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type d'étude
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inventaire topographique
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rédacteur(s)
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Fray François
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référence
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IA83000025
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© Inventaire général, Région Provence-Alpes-Côte d'Azur
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enquête
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1987
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date versement
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2002/03/19
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date mise à jour
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2007/03/12
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service producteur
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Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Direction Culture et Patrimoine - Service de l'Inventaire général du patrimoine culturel Grand Horizon, 11-13 boulevard de Dunkerque, 13002 Marseille - 04 88 10 76 66
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