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Inventaire général du patrimoine culturel
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édifice / site
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Ecole de Jésuites
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localisation
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Alsace ; Bas-Rhin ; Sélestat
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aire d'étude
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Sélestat
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adresse
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16 b place du Marché aux Choux
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destinations successives
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établissement administratif
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dénomination
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école
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parties non étudiées
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cour
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époque de construction
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2e quart 18e siècle
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auteur(s)
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Diringer Jean Martin (architecte communal)
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historique
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Les jésuites, installés à Sélestat depuis 1615, ouvrent une école en 1621 en demandant un terrain de construction au magistrat qui tente de résister malgré l'insistance de l'archiduc Léopold, protecteur des jésuites ; en 1623 le magistrat achète deux maisons et fait détruire la chapelle Saint-Jean-Baptiste pour aménager une cour sur son emplacement ; un bâtiment d'école est construit en 1687 ; en 1731, les jésuites voudraient construire une école plus vaste et demandent l'autorisation à l'intendant qui refuse ; en 1737 une nouvelle demande est acceptée ; un projet et un devis sont dressés par l'architecte communal Jean Martin Diringer, il est revu en 1740 et la construction est entreprise en 1742 après que l'inspecteur principal des ponts et chaussées, M. François, ait examiné le projet et revu le devis ; les travaux de maçonnerie, de plâtrage et de couverture sont confiés à l'entrepreneur Gallay de Strasbourg ; les travaux se poursuivent de 1742 à 1745 : l'école est inaugurée le 28 juillet 1745 ; elle comprend 3 salles de classe au rez-de-chaussée, 4 salles à l'étage et une salle de théâtre au 2e étage ; le fronton de l'élévation intérieure présente un tympan avec des pierres d'attente pour un décor sculpté ; l'école est fermée en 1765 lors du départ des jésuites ; le bâtiment abrite le tribunal de 1791 à 1799 1800 (an 8) , puis le collège communal de 1803 à 1806 et de nouveau le tribunal de 1806 à 1870 ; de 1872 à 1921 il abrite l'école normale d'institutrices, puis la cité administrative ; actuellement y sont logés les bureaux de l'A.N.P.E. et de la perception ; la distribution intérieure a été complètement transformée, il ne reste que la cage d'escalier du 18e siècle : d'après Alexandre Dorlan, la rampe en fer forgé serait signée par le ferronnier Michel Schultz et datée de 1743 ; un campanile avait été ajouté sur le toit au 19e siècle et a été supprimé au 20e siècle
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élévation
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élévation ordonnancée
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étages
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sous-sol ; 2 étages carrés
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escaliers
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escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours avec jour, en maçonnerie
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gros-oeuvre
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grès ; moellon ; brique ; enduit
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couverture (type)
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toit à longs pans ; croupe
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couverture (matériau)
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tuile plate
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décor
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sculpture
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représentation
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tête : femme
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sujet : tête de femme dans un cartouche, support : clé de cintre de la porte centrale
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état
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restauré
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propriété
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propriété publique
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type d'étude
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inventaire topographique
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rédacteur(s)
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Scheurer Marie-Philippe
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référence
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IA00124602
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© Inventaire général
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enquête
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1993
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date versement
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1995/06/22
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date mise à jour
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1997/04/18
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Contact service producteur
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service producteur
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Région Alsace - Service de l'Inventaire du Patrimoine culturel Palais du Rhin - 2 Place de la République 67000 Strasbourg - 03.88.15.38.31
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