historique
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Sur le territoire entourant la future ville du Havre existaient au Moyen Age une abbaye, Sainte-Honorine-de-Graville et les églises paroissiales de chef de Caux, Bléville, Sanvic, Rouelles, l'Eure, Harfleur, Gonfreville-l'Orcher et Gournay-en-Caux. 19 chapelles dépendaient de châteaux ou manoirs, lazaret du Hoc et citadelle au 17e siècle. L'urbanisation du plateau et de la plaine de l'Eure dans la 2e moitié du 19e siècle a entraîné la reconstruction d'un certain nombre d'églises paroissiales, en style néo-roman (Sainte-Adresse, Bléville, Sanvic, l'Eure) , et surtout la construction de nouvelles églises pour desservir les nouveaux quartiers, le Sacré-Coeur, Sainte-Cécile, Notre-Dame-de-Bonsecours, Saint-Augustin et la nouvelle église des Neiges, les chapelles Sainte-Jeanne-d'Arc (1909) pour le lotissement du Vornier, Sainte-Thérèse (1936) pour la Mare-Rouge, Notre-Dame-des-Flots à Sainte-Adresse, et la chapelle du foyer Notre-Dame-de-Grâce. Sauf l'église Sainte-Cécile de style néo-gothique et la chapelle Notre-Dame-de-Grâce en style néo-classique, toutes ces églises ont été construites en style néo-roman. Une chapelle pour les Irlandais a été aménagée dans les docks Vauban. Le même phénomène s'observe dans les années de la reconstruction et de la construction des grands ensembles du plateau. Ont été repérées les églises contemporaines de Saint-Pierre à Caucriauville (1967) , Saint-Paul à Aplemont (1953) , Saint-André à Ignauval, Notre-Dame-aux-Neiges (1965) , Sainte-Jeanne-d'Arc (1961) , les chapelles Sainte-Thérèse à la Mare-Rouge (1953) et au centre commercial du Mont Gaillard les chapelles du Saint-Esprit (1962) rue de la vallée, des Douze Apôtres (1965) rue du Commandant Abadie, toutes construites en béton armé. Ont également été repérées pour le culte évangélique, les églises évangéliques du Mont Gaillard et de la rue Cassard, et l'église de la Bonne Nouvelle rue de Verdun, toutes contemporaines
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