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historique
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Situé à l´extrême nord-est de la commune, le chef-lieu de commune domine un territoire vallonné descendant vers le sud. L´agglomération s´est constituée autour d´un ancien carrefour de voies de communication assurant la liaison avec Querrien à l´ouest, Quimperlé au sud et Guilligomarc´h à l´est. La comparaison entre le cadastre de 1825 et celui de 1989 permet de constater la pérennité de la structure de l´agglomération en général et des voies de communication et des îlots en particulier. Les éléments les plus anciens en place remontent aux 16e et 17e siècles ; outre l´église paroissiale et la chapelle Notre-Dame, quelques maisons formant alignement (rue des Camélias) , aujourd´hui dénaturées, remontent également, au 17e siècle, tout comme l´ancien presbytère (3, rue du Moulin Neuf). Entre le milieu du 19e siècle et les années 1930, le tissu urbain se densifie dans la partie est du bourg, le long de la rue des Roches du Diable, ainsi qu´au sud de l´église. Plusieurs maisons portent les dates de leur construction : 1875 (7, rue des Roches du Diable) , 1909 (12, rue de Quimperlé) , 1926 (17, rue des Roches du Diable). Correspondant à un essor démographique marqué, cette période est également caractérisée par la construction d´un nouveau presbytère (1869) , aujourd´hui désaffecté, d´une mairie-école (1882) et de l´école Notre-Dame du Folgoët (1903, 1911) , également désaffectée. Actuellement, c´est le caractère résidentiel du bourg qui domine, corroboré par l´urbanisation récente, diffuse ou en forme de lotissements, qui se poursuit au nord (Beg ar Roz) , à l´est (la Croix Rouge) et au sud (entre le cimetière et Penquer Diffon).
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