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Inventaire général du patrimoine culturel
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édifice / site
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église paroissiale Saint-André
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localisation
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Corse ; Corse-du-Sud ; Sorbollano
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aire d'étude
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Tallano-Scopamène
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dénomination
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église paroissiale
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objets mobiliers
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époque de construction
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Milieu du Moyen Age (?) ; 1ère moitié 17e siècle ; 1er quart 18e siècle ; limite 18e siècle 19e siècle ; 2e quart 19e siècle ; 3e quart 19e siècle
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siècle détail
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1er quart 20e siècle
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année
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1711 ; 1839 ; 1866 ; 1874
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auteur(s)
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Angelelli Grimaldo (maître maçon) ; Bernardini Francesco Antonio (maître maçon) ; Decimo Giuseppe (maître maçon) ; Ettori Rocco (maître maçon) ; Filippi Ignace (maître maçon)
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historique
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L'église Saint-André, construite au milieu du Moyen Age (?) , est mentionnée en 1587 dans le rapport de visite de Mgr Mascardi, visiteur apostolique, qui en souligne le mauvais état. Elle est restaurée au cours de la première moitié du 17e siècle. En 1686, le piévan d'Orezza, De Petris, délégué du visiteur apostolique Mgr Spinola, note la décence de ce modeste édifice, annexe de l'église paroissiale Saint-Nicolas de Serra-di-Scopamène. Agrandie d'une chapelle latérale en 1711, comme l'indique la date portée, l'église est à nouveau remaniée dès la fin du 18e siècle. En 1802, seuls les travaux de gros-oeuvre sont achevés, comme l'indique le sous-préfet de Sartène dans une lettre adressée au Préfet de la Corse, les travaux de second-oeuvre requérant une dépense de 1 520 francs, selon le devis établi par les maîtres maçons Francesco Antonio Bernardini et Giuseppe Decimo. En 1808, elle est en bon état, ainsi que le font apparaître les sources. En 1838, la foudre endommage gravement l'église ainsi que le clocher, en cours de construction en 1836. Leur restauration a lieu en 1839, les travaux étant adjugés au maître maçon Grimaldo Angelelli. En 1846, l'église, dont le toit menace de s'effondrer, nécessité à nouveau une intervention urgente. Cette réfection sera suivie de deux importantes campagnes de travaux effectués, en 1866, par le maître maçon Rocco Ettori et, en 1874, par le maître maçon Ignace Filippi. Le clocher fera l'objet d'une nouvelle restauration au cours du premier quart du 20e siècle.
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description
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Edifice de plan allongé, à chevet plat. Nef couverte d'une fausse voûte en berceau. Chapelle latérale et choeur couverts d'une voûte en berceau à lunettes. Présence d'une tour-clocher.
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plan
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plan allongé
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étages
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1 vaisseau
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gros-oeuvre
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granite ; pierre de taille
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couverture (type)
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toit à longs pans
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couverture (matériau)
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tuile creuse mécanique
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couvrement
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voûte en berceau (à lunettes) ; fausse voûte en berceau
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décor
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vitrail
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représentation
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symbole : vie religieuse ; saint
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Passion ; Pentecôte ; Vierge de Miséricorde ; saint André ; saint Jean-Baptiste ; saint François d'Assise ; saint Martin ; saint Vincent de Paul
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état
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restauré
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propriété
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propriété de la commune
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type d'étude
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inventaire préliminaire
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rédacteur(s)
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Comiti Pierre
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référence
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IA2A000395
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© Inventaire général ; © Collectivité Territoriale de Corse
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enquête
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2001
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date versement
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2003/12/18
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date mise à jour
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2007/02/16
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crédits photo
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Comiti, P. - © Collectivité Territoriale de Corse
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service producteur
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Collectivité Territoriale de Corse - Direction du Patrimoine - Service de l'Inventaire du Patrimoine B.P. 215 - 20187 Ajaccio Cedex 1 - 04.95.50.38.06/04.95.50.38.07
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