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Inventaire général du patrimoine culturel
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édifice / site
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Presbytère, hôtel, actuellement logements et établissement administratif
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localisation
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Nord-Pas-de-Calais ; Nord ; Condé-sur-l'Escaut
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aire d'étude
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Condé-sur-l'Escaut
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lieu-dit
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Condé-sur-l'Escaut centre
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adresse
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27 à 33 rue Dervaux ; 12 rue Sainte-Barbe
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destinations successives
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logement ; établissement administratif
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dénomination
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presbytère ; hôtel
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parties non étudiées
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cour ; jardin
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époque de construction
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milieu 18e siècle
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siècle détail
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2e quart 20e siècle
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année
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1928
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auteur(s)
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maître d'oeuvre inconnu
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historique
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Cet hôtel apparaît sous la référence n° A159 du Plan des rues qui composent la ville de Condé dressé en 1754 (AC Condé-sur-l'Escaut) et y est identifié comme la maison du curé [de l'église paroissiale Saint-Wasnon]. Il peut être daté, par analyse stylistique, du milieu du 18e siècle. Il est probable qu'il s'agissait à l'origine d'un ensemble unitaire, qui a fait l'objet, sans doute à la suite de la Révolution, d'une division en deux ensembles apparaissant sur le plan parcellaire de 1808 et confirmée par les plans suivants. Cependant, la présence d'un mur-pignon coupe-feu divisant le corps de logis principal et correspondant à la réalité des deux parcelles actuelles, ne peut faire exclure l'existence de deux ensembles juxtaposés dès le 18e siècle. Le dispositif de la porte percée dans le mur de clôture côté rue Sainte-Barbe atteste la fin du 19e siècle. La date de 1928 et les initiales T W inscrites dans l'enduit de ciment du mur pignon donnant sur la rue Saint-Barbe correspondent sans doute à l'application de cet enduit. Actuellement (2007) , la partie gauche (y compris l'aile en retour vers la rue Dervaux) fait l'objet d'une réhabilitation en logements sociaux, la partie droite est affectée à la Direction territoriale de Prévention et d'Action sociale du Département du Nord.
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description
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Le corps principal de logis s'étire parallèlement à la rue, avec un retrait ménageant une cour ; à gauche, une aile fait retour vers la rue. Le corps de logis principal est revêtu d'un enduit de ciment dissimulant la brique ; les encadrements de baies sont sans doute en pierre calcaire. Il est possible qu'il comptait 12 ou 13 baies de développement au 18e siècle si l'on suppose une unité d'origine et un rythme de percement identique dans la partie droite à celui de la partie gauche. Le toit à longs pans et égout légèrement retroussé sur la partie droite, est couvert de tuiles flamandes mécaniques. Deux lucarnes éclairent le comble de droite. Le mur pignon donnant sur la rue Sainte-Barbe ainsi que la façade arrière, visible depuis cette même rue, sont eux aussi revêtus d'un enduit de ciment à faux appareillage de pierre. Un mur de clôture percé d'une porte bâtarde à encadrement de brique isole le jardin de la rue. L'aile en retour, dont le toit à longs pans et croupe brisés se greffe aux deux tiers de la hauteur du comble principal, n'est pas revêtu d'enduit côté rue et côté retour nord-est, et montre sa maçonnerie de brique et pierre.
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plan
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plan régulier en L
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élévation
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élévation à travées
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étages
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sous-sol ; 1 étage carré ; étage de comble
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gros-oeuvre
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brique ; calcaire ; appareil mixte ; enduit
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couverture (type)
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toit à longs pans ; toit à longs pans brisés ; croupe brisée ; pignon découvert
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couverture (matériau)
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tuile flamande mécanique
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décor
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ferronnerie
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représentation
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ornement à forme géométrique
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Ornement géométrique en ferronnerie : ancres en façade.
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propriété
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propriété privée ; propriété du département
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type d'étude
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inventaire topographique
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rédacteur(s)
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Oger-Leurent Anita
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référence
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IA59002487
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© Inventaire général
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enquête
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2007
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date versement
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2010/06/24
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date mise à jour
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2012/02/27
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crédits photo
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Thibaut, Pierre - © Inventaire général, ADAGP
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