historique
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Jusque dans les années 1960, 1970, Saint-Mihiel compte plusieurs lavoirs : le lavoir de la "Porte à Verdun" (actuelle rue du Calvaire) , le seul du quartier de la Halle en 1834, construit en 1729, 1730 par l'entrepreneur François Grosbert sur des plans de l'architecte Orion, travaux reçus par le frère Hilarion Boulanger, architecte et bénédictin ; reconstruit en 1758 sur des plans de l'architecte Letixerant ; à nouveau reconstruit en 1799 sur des plans de l'architecte C. Renel ; le lavoir de la Fontaine Rouge, dans le Bourg, construit en 1719 sur des plans de l'architecte Orion ; reconstruit en 1770, 1771 par l'entrepreneur Chrétien sur des plans de l'architecte Casnère ; reconstruit en 1948 par l'entrepreneur Auguste Ferrato ; le lavoir de la Tête d'Or près du Grand pont, construit en 1770 par Pierre Dinée, maître charpentier, travaux reçus par J.F. Malbert, ancien sous-ingénieur des Ponts-et-Chaussées et par Nicolas Richard, maître charpentier à Saint-Mihiel ; le lavoir de Morguesson, dans un moulin à écorces ("pillon") au bord de la Marsoupe, acheté par la commune, aménagé en 1833 sur des plans du conducteur de travaux Viller ; agrandi en 1859 ; le lavoir sur la Meuse, près du Grand pont, construit en 1880 par l'entrepreneur Philippe Lavocat, de Lacroix-sur-Meuse, sur des plans de l'architecte Bastinot, de Saint-Mihiel ; reconstruit en 1948 par Auguste Ferrato, entrepreneur à Saint-Mihiel ; le lavoir dit "Fontaine des Minimes" (étudié) , construit en 1770 par l'entrepreneur Jean-Nicolas Chrétien sur des plans de l'architecte F. Casner ; reconstruit en 1866 par l'entrepreneur Adolphe Lecer, de Woimbey, sur des plans de l'architecte Alexandre Guiot ; en 1885 sont cités 2 autres lavoirs, rue des Estrubets et rue du Puty ; dates et attributions par source.
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