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Inventaire général du patrimoine culturel
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édifice / site
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jardin d'agrément de la Villa Rosemary, puis de la Villa La Palladienne
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localisation
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Provence-Alpes-Côte d'Azur ; Alpes-Maritimes ; Saint-Jean-Cap-Ferrat
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aire d'étude
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Villefranche-sur-Mer
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lieu-dit
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Plaine (la)
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adresse
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8 allée des Brises
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dénomination
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jardin d'agrément
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édifice contenant
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maison dite Villa Rosemary, puis Villa La Palladienne
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4
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parties non étudiées
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jardin potager ; bassin ; allée ; dépendance ; fabrique de jardin ; pergola
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jardin
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bosquet ; groupe d'arbres ; parterre de pièces coupées ; pièce de gazon ; massif de fleurs
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époque de construction
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1er quart 20e siècle
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siècle détail
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3e quart 20e siècle
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auteur(s)
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Peto Harold (architecte paysagiste) ; Millon de Peillon L. (architecte)
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personnalité(s)
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Cohen Arthur (commanditaire)
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historique
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Le jardin de la Villa Rosemary est réalisé dans le premier quart du 20e siècle pour Arthur Cohen, banquier londonien, par l'architecte paysagiste Harold Peto. En 1960 la propriété est divisée en sept lots par l'architecte L. Millon de Peillon (Nice). Une partie du bosquet a été préservée. Le jardin régulier conserve sa structure mais les plantations ont disparues. La loggia a été remplacée par une maison.
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description
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Le jardin est aménagé sur une parcelle d'environ deux hectares située à flanc de falaise, dominant la mer du côté est. Il comprend une partie plantée de bosquets de pins et d'oliviers, un potager en bordure du mur de clôture situé à l'ouest, prés de la maison de gardien et un jardin régulier en creux dit jardin italien, situé dans l'axe de la façade sud de la villa. Ce dernier, en terrasses de plans carrés, constitué de trois parterres en pièces découpées et symétriques, se développe dans le prolongement de la terrasse en terre-plein dite Cour de marbre située au-devant de la façade sud, en créant un axe perspectif depuis le bassin central de la cour inspiré de la maison de Faune à Pompéi, jusqu'à une loggia située à l'extrémité sud. Le parterre central, constitué de massifs de fleurs, est axé à l'est sur une terrasse agrémentée d'un banc encadré par deux cyprès et à l'ouest, sur un hémicycle en surplomb bordé d'une palissade de verdure, encadré par deux pergolas en retour. Un passage au centre de l'hémicycle donne accès au tennis dissimulé derrière une haie. Le jardin régulier est délimité à l'ouest et au sud, par une allée rectiligne, haute. Le portique dit "squiffa" ouvrait par cinq baies en plein cintre sur la mer et le jardin. Il était voûté d'arêtes et couvert d'un toit à deux pans à croupes.
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plan
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jardin mixte
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élévation
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jardin en terrasses ; jardin en pente
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gros-oeuvre
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maçonnerie ; enduit
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couverture (type)
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toit à longs pans ; croupe
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couverture (matériau)
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tuile creuse
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couvrement
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voûte d'arêtes
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état
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restauré
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propriété
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propriété privée
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type d'étude
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recensement du patrimoine balnéaire
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rédacteur(s)
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Del Rosso Laurent
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référence
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IA06000955
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© Inventaire général, Région Provence-Alpes-Côte d'Azur ; © Conseil général des Alpes-Maritimes
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enquête
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1999
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date versement
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2008/11/20
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service producteur
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Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Direction Culture et Patrimoine - Service de l'Inventaire général du patrimoine culturel Grand Horizon, 11-13 boulevard de Dunkerque, 13002 Marseille - 04 88 10 76 66
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