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Inventaire général du patrimoine culturel
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édifice / site
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Château de Montivert
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localisation
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Rhône-Alpes ; Ardèche ; Saint-André-en-Vivarais
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anciennement commune de : Saint-André-des-Effangeas
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aire d'étude
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Saint-Agrève
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lieu-dit
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Montivert
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dénomination
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château
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parties non étudiées
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chapelle ; conciergerie ; ferme ; parc
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objets mobiliers
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époque de construction
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3e quart 19e siècle
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année
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1857
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auteur(s)
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Martin, Pierre (?, architecte) ; Bissuel, Jean Prosper (?, architecte)
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personnalité(s)
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Duliron de Montivert, Amicie (commanditaire) ; Lacroix-Laval de, Antoine-Louis (commanditaire)
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historique
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Le 1er château aurait été construit au 13e siècle. Selon Benoit-d'Entrevaux c'était "une maison forte composée d'un gros corps de bâtiment rectangulaire flanqué de deux donjons massifs". Plusieurs familles s'y succèdent (Iserdand, Montaignac, Vire du Liron) et le château connaît diverses transformations. Au milieu du 18e siècle, il est modifié par Gabrielle Vire du Liron. A la mort de Charles-Henri Duliron, l'acte de mutation de 1830 indique "une maison de maître, jardin, bâtiments pour l'exploitation des propriétés, prés, pâturages...". Le cadastre de 1836 mentionne une "maison, sol et cour" représentée selon un plan en U. Lorsqu'en 1841 Amicie Duliron de Montivers, fille unique de C.-H. Duliron et Elisabeth de Lacroix-Laval tous deux décédés, épouse son cousin Antoine-Louis de Lacroix-Laval, le contrat de mariage mentionne "la terre de Montivers et ses dépendances situées sur la commune de St André-des-Effangeas et autres voisines". A partir de 1847, Amicie agrandit son domaine, elle achète au marquis de Lestrange : une forêt de haute futaie, une ferme avec dépendances, des scieries et un moulin à eau en bordure de St Bonnet-le-Froid, limitrophe de Montivert. Vers 1857 les Lacroix-Laval, alors domiciliés à Lyon, reconstruisent le château ; à cette date le cadastre indique une "maison, nouvelle construction". L'auteur pourrait être l'architecte lyonnais Pierre Martin, ami de la famille, qui en 1859 propose des plans pour la nouvelle église de Saint-André-des-Effangeas. L'architecture et le décor intérieur du château, qui mêlent rigueur de l'architecte et précision du dessinateur, semblent un exercice d'application aux recherches sur l'architecture du Moyen-Age et de la Renaissance que Pierre Martin effectue et publie à partir de 1854. Ensuite, les Lacroix-Laval font probablement appel à l'architecte lyonnais J.P. Bissuel pour la construction des nouveaux bâtiments agricoles (la bergerie conserve un remploi de l'ancien château (?) : linteau en accolade armorié de 1639) , le logement du régisseur et la conciergerie ; on sait qu'en 1863, J.P. Bissuel construit un immeuble rue de l'Impératrice à Lyon, pour A-L de Lacroix-Laval. En 1876, Amicie, au décès de son mari, lègue à son fils un domaine de 244 hectares "d'un seul tènement".
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description
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Château de plan rectangulaire symétrique : sous-sol couvert de voûtes en berceau de brique, voûte d'ogives dans la chapelle du 2e étage, lambris de couvrement dans les salons du 1er étage. Escalier extérieur à un degré droit prolongé par une terrasse à garde corps sur façade principale. Escaliers intérieurs droits montant au 1er étage. Escalier d'honneur tournant sur trois étages. Toit en ardoises à croupes avec fenêtres de lucarnes et tours à toit conique. Dépendance agricole de plan en U, à 1 étage et 1 comble à surcroît, toit en tuiles plates mécaniques sur les longs pans, noues et croupes. Bergerie en rez-de-chaussée, toit en tuiles creuses, avec longs pans et pignons couverts. Conciergerie de plan symétrique à 1 étage et bâtiments latéraux en rez-de-chaussée, toit en ardoise à longs pans.
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plan
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plan rectangulaire symétrique ; plan symétrique en U
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élévation
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élévation à travées
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étages
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sous-sol ; rez-de-chaussée surélevé ; 2 étages carrés ; étage en surcroît ; 1 étage carré ; comble à surcroît ; en rez-de-chaussée
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escaliers
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escalier de distribution extérieur : escalier droit, en maçonnerie ; escalier intérieur : escalier tournant à retours avec jour, suspendu ; escalier intérieur : escalier droit, en maçonnerie
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gros-oeuvre
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pierre ; granite ; pierre de taille ; moellon ; enduit
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couverture (type)
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toit à longs pans ; croupe ; toit conique ; noue ; pignon couvert
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couverture (matériau)
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ardoise ; tuile creuse ; tuile plate mécanique
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couvrement
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voûte en berceau ; en brique ; en tas de charge ; voûte d'ogives ; lambris de couvrement
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décor
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ferronnerie ; menuiserie (étudiée dans la base Palissy) ; papier peint (étudié dans la base Palissy) ; mosaïque ; vitrail (étudié dans la base Palissy) ; sculpture ; sculpture (étudiée dans la base Palissy)
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représentation
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armoiries ; fleuron ; ornement ; ours
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Armoiries en mosaïque dans le vestibule d'entrée ; fleurons sculptés en façade ; ornement en ferronnerie sur le garde corps de la rampe ; tête d'ours sculptée sur une porte de la bergerie
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propriété
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propriété privée
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type d'étude
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inventaire topographique
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rédacteur(s)
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Hartmann-Nussbaum Simone ; Sauzade Lionel
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référence
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IA07000068
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© Inventaire général du patrimoine culturel, Région Rhône-Alpes
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enquête
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1999
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date versement
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2006/01/20
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date mise à jour
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2008/01/23
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dossier en ligne
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Contact service producteur
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