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Inventaire général du patrimoine culturel
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édifice / site
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aciérie, grosse forge, laminoir, fonderie dite S. A. pour la fabrication de l'acier, puis Société des aciers français, puis usine Saint-Marcel
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localisation
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Nord-Pas-de-Calais ; Nord ; Hautmont
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aire d'étude
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Hautmont
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adresse
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rue Saint-Marcel
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hydrographie
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rivière canalisée de la Sambre
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dénomination
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aciérie ; grosse forge ; laminoir ; fonderie
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parties non étudiées
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atelier de fabrication ; cheminée d'usine ; quai
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époque de construction
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1er quart 20e siècle
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année
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1859 ; 1869
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auteur(s)
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maître d'oeuvre inconnu
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historique
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1859 : installation de l'aciérie par M. Dumon sous l'appelation S.A. pour la fabrication de l'acier selon le procédé _Chenot. Rachat en 1869 par la société de Vezin-Aulnoye qui y fabrique des rails en fer puis en acier à partir de 1876. Une nouvelle fonderie est mise en place en 1893 fournissant les pièces moulées aux quatre usines de la société. Les fontes employées proviennent des hauts fourneaux de Aulnoye et Maxéville. L'usine devenue Saint-Marcel produit ainsi les fers pour les Cies de chemins de fer, les clouteries et exporte sa production vers l'Amérique et l'Inde. Elle appartient à la Cie des forges et aciéries de la marine d'Homécourt vers 1905. Entièrement détruite au cours de la Première Guerre mondiale, l'usine est reconstruite pour se consacrer uniquement au laminage de fers marchands. A une date inconnue, elle appartient à l'Union Sidérurgique Lorraine ou Sidelor puis en 1968 entre dans la Société Wendel-Sidelor. En 1979, elle ferme définitivement ses portes sous la raison sociale Trancel, filiale d'Unimétal et fabriquait alors des traverses pour la SNCF et autres produits laminés. Elle est aujourd'hui entièrement détruite. L'usine comprend en 1895 des laminoirs, des ateliers de réparation, une fonderie, une fabrique de brique réfractaire, 33 machines à vapeurs, 25 chaudières, 17 fours à puddler, 10 fours à réchauffer, 7 trains de laminoirs, 4 pilons à vapeur, 16 scies et cisailles, 9 grues, 6 pompes à vapeur etc. Elle consomme annuellement 32 000 t de fonte, 36 000 t de charbon pour produire 25 à 26 000 t de fers finis d'une valeur approximative de 3 500 000 francs. En 1971, elle possède 2 fours poussants au fuel, 2 trains de laminoirs, 1 atelier de parachèvement, la capacité de laminage est de 50000 tonnes par an. Le personnel se compose de 750 ouvriers en 1895 et bénéficie d'une caisse de secours, d'une assurance maladie et une caisse de retraite. En 1971, elle compte 300 ouvriers contre 15 fin 1989
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description
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Site industriel desservi par voie particulière
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état
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détruit
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type d'étude
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repérage du patrimoine industriel
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rédacteur(s)
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Ramette Jean-Marc
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référence
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IA00131460
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© Inventaire général
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enquête
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1992
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date versement
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1996/03/20
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date mise à jour
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2012/02/27
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crédits photo
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Dapvril, Philippe (reproduction) - © Inventaire général, ADAGP ; © Collection particulière
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dossier en ligne
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