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Inventaire général du patrimoine culturel
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édifice / site
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hôtel Colcombet, puis bibliothèque
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localisation
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Rhône-Alpes ; Loire ; Saint-Etienne
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aire d'étude
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Saint-Etienne centre
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adresse
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3 rue du Lieutenant-Morin ; rue Marcellin-Allard
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destinations successives
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bibliothèque
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dénomination
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hôtel
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parties non étudiées
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garage
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époque de construction
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1er quart 20e siècle
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siècle détail
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3e quart 20e siècle
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année
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1912
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auteur(s)
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Lamaizière Léon (architecte) ; Lamaizière Marcel (architecte) ; Schwartz (ferronnier) ; Meurer (ferronnier) ; Induni (sculpteur) ; Mégard (verrier) ; Royer E. (verrier)
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personnalité(s)
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Colcombet Virginie (commanditaire)
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historique
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En 1912, madame Alexandre Colcombet, née Virginie Goubard de Dracy (Dracy-le-Fort en Saône-et-Loire) , commande aux architectes stéphanois Lamaizière la construction d'un hôtel particulier pour son fils Johan Colcombet. Cette famille célèbre de rubaniers stéphanois a déjà confié en 1894 à Léon Lamaizière la construction de leur immeuble de négociant à Saint-Etienne, et en 1891 l'édification de divers bâtiments dans leur propriété de Dracy-le-Fort. Léon et Marcel Lamaizière dessinent les premiers plans de cet hôtel et la construction débute rapidement fin 1912, mais est interrompue en 1914 par la Première Guerre mondiale. Les travaux reprennent dès 1919 après de légères modifications intérieures dessinées par Marcel Lamaizière. La ferronnerie de la porte d'entrée est réalisée par l'entreprise parisienne Schwartz et Meurer ; les vitraux du ciel vitré du hall sont fabriqués par l'entreprise parisienne Mégard et Royer. La famille quitte la ville à la fin des années Trente pour s'installer à Lyon et fonder, avec un soyeux lyonnais, la maison Bucol. L'hôtel est inoccupé jusqu'en 1954, date de son rachat par la ville de Saint-Etienne qui transforme les intérieurs pour installer la section études de la bibliothèque municipale. Depuis 1993, l'hôtel est inoccupé.
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description
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Cet hôtel urbain est implanté à l'angle de deux rues, sur une parcelle libérée par le percement de l'avenue du Président-Faure en 1905. Le plan de l'édifice est régulier et organisé autour d'une base carrée, le hall central, autour duquel se trouvent l'escalier d'honneur, le ciel vitré, la galerie du deuxième étage. Le calcaire de Villebois (01) est employé pour le socle et le terrassement, la pierre des Estaillades (84) pour le rez-de-chaussée et la pierre de Saint-Paul-Trois-Châteaux (26) pour les étages. La porte d'entrée, surmontée d'une marquise, est encadrée de deux oculi ovales ornés de guirlandes de fleurs et d'une grille en fer forgé.
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plan
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plan carré régulier
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élévation
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élévation ordonnancée
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étages
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sous-sol ; 2 étages carrés ; étage de comble
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escaliers
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escalier dans-oeuvre : escalier tournant, en maçonnerie ; monte-charge
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gros-oeuvre
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calcaire ; pierre de taille ; badigeon partiel
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couverture (type)
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terrasse ; verrière ; toit brisé en pavillon
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couverture (matériau)
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tuile mécanique ; ardoise ; zinc en couverture ; verre en couverture ; matériau synthétique en couverture
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décor
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vitrail ; sculpture ; ferronnerie
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représentation
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fleur ; feuillage
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Le vitrail du ciel vitré présente des motifs floraux. Les éléments sculptés en façade sont des pilastres d'ordre colossal. Les clés en forme de volute des oculi du rez-de-chaussée sont ornées de motifs floraux
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état
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restauré
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propriété
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propriété de la commune
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type d'étude
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enquête thématique régionale (patrimoine 19e-20e siècles de Saint-Etienne)
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rédacteur(s)
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Sanquer Cendrine
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référence
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IA42000004
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© Inventaire général du patrimoine culturel, Région Rhône-Alpes ; © Ville de Saint-Etienne
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enquête
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1996
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date versement
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2008/06/20
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date mise à jour
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2010/01/14
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dossier en ligne
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Contact service producteur
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service producteur
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Conseil régional de Rhône-Alpes - Service chargé de l'inventaire 6, Quai Saint-Vincent - 69001 Lyon - 04.72.00.43.70
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