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Inventaire général du patrimoine culturel
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édifice / site
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îlot de la Tête d'Or
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localisation
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Nord-Pas-de-Calais ; Nord ; Roncq
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adresse
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place Jean-Jaurès ; rue Jean-Jaurès ; rue Henri-Barbusse ; rue de Lille
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dénomination
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îlot
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parties non étudiées
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auberge ; maison
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éléments remarquables
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auberge
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époque de construction
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18e siècle ; 19e siècle
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année
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1824
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historique
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Cet îlot comprenait des maisons, dont certaines à rez-de-chaussée commercial, et une auberge à l'enseigne de la Tête d'Or. L'ensemble de l'îlot correspond certainement à la phase d'urbanisation médiévale du bourg de Roncq : il jouxte en effet l'église et borde la rue de Lille qui est en fait la route (ancienne RN 17) reliant Lille et Gand (Belgique). Dans son état avant destruction, les édifices qui le constituaient remontaient aux 18e et 19e siècles. La partie sud de l'îlot, qui n'a pas été inventoriée avant destruction (parcelles AK 272 à 274, 277 à 280) , a été abattue au début de l'année 2003.
Les éléments les plus intéressants de la partie nord, démolie pendant l'été 2003, étaient l'auberge et la maison qui la jouxtait au nord-est ; celle-ci portait la date de 1824 (en fers d'ancrage).
L'auberge de la Tête d'Or semblait dater de la première moitié du 18e siècle, mais l'existence d'une auberge sous ce nom est attestée depuis au moins le 16e siècle.
L'intérêt principal de l'îlot était sa situation dans la ville, son rôle de structuration urbaine, maintenant un linéaire le long de la route, fermant la perspective vers l'église et lui donnant une échelle.
La démolition, dont la deuxième phase s'est déroulée pendant l'été 2003, avait pour but de libérer la surface nécessaire à une "grande place" sur le flanc de l'église. La restructuration urbaine a été confiée à la Société d'Economie Mixte Ville Renouvelée, qui relève de la communauté urbaine de Lille.
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description
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L'ensemble des constructions était en briques recouvertes d'un badigeon ou d'un enduit ; les toitures étaient séparées les unes des autres par des pignons découverts. Le linéaire rue de Lille dressait des élévations à un étage carré, toitures à longs pans, couverture de tuiles mécaniques flamandes.
Sur la place Jean-Jaurès, la maison portant la date de 1824 s'élevait sur un étage carré, toiture à longs pans en tuiles mécaniques flamandes ; le rez-de-chaussée, au moment de la démolition, était occupé par une entreprise de pompes funèbres.
L'auberge de la Tête d'Or, couverte en tuiles flamandes, présentait rue de Lille un étage carré développé sur 6 travées non régulières et couvert par une toiture à longs pans ; sur la place Jean-Jaurès, une élévation à un étage carré sur une travée et à 2 étages carrés sur deux travées (en fait, 2 demi-niveaux) , toit à longs pans brisés. L'intérieur de cette auberge était constitué de petites pièces complètement rhabillées aux 19e et 20e siècles. Une salle au premier étage côté place avait conservé une poutre dont une extrémité portait un très modeste motif de pointes de diamants.
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étages
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1 étage carré ; 2 étages carrés
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gros-oeuvre
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brique ; badigeon
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couverture (type)
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toit à longs pans ; toit à longs pans brisés ; pignon découvert
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couverture (matériau)
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tuile flamande ; tuile flamande mécanique
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décor
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maçonnerie ; ferronnerie
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représentation
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ornement à forme géométrique ; denticules
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Auberge de la Tête d'Or : décor en frise de briques (sorte de denticules) sous la corniche rue de Lille. Maison de 1824 : date portée en fers d'ancrage.
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typologie
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fer d'ancrage à effet décoratif
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état
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détruit après inventaire
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propriété
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propriété de la commune
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type d'étude
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opération d'urgence
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rédacteur(s)
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Oger-Leurent Anita
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référence
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IA59002002
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© Inventaire général
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enquête
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2003
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date versement
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2003/11/28
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date mise à jour
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2012/02/27
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service producteur
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Conseil régional du Nord - Pas-de-Calais - DAIRE
151 Bd Hoover 59555 Lille Cedex - 03 28 82 67 40
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