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Inventaire général du patrimoine culturel
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édifice / site
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maison de maître dite Château de Lansac
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localisation
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Aquitaine ; Gironde ; Ambès
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aire d'étude
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Lormont
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lieu-dit
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Lansac
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adresse
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16 avenue du Général-de-Gaulle
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dénomination
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maison
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parties non étudiées
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parc ; pigeonnier
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époque de construction
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16e siècle (détruit) ; 17e siècle (?) ; 1er quart 18e siècle
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siècle détail
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4e quart 18e siècle ; 19e siècle
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auteur(s)
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Surt Pierre (charpentier) ; Lenoir Pierre (maçon) ; Chapeaublanc François (maçon)
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historique
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Les cartes du 18e siècle mentionnent la maison noble de Lansac qui dans la documentation est citée dès le 16e siècle. Elle fut sans doute reconstruite au 17e siècle par les seigneurs de Lansac dont le château était situé sur la rive droite de la Dordogne dans le Bourgeais. La demeure est encore reconstruite vers 1720 par Pierre Surt, charpentier à Lagrave-d'Ambarès et par Pierre Lenoir, maçon à Ambarès pour le parlementaire bordelais Denys. Vers 1765 François Chapeaublanc, maçon, refait un portail et une maison de gardien donnant sur l'antique route du Chemin de la Vie. Le domaine est vendu vers 1780 à la famille de Gères dont le monogramme orne une cheminée. Des plans-masse et des photos anciennes permettent de reconstituer le domaine. Un corps de logis rectangulaire, parallèle à la Dordogne, "sans trace de fortification", était flanqué à l'ouest de vastes dépendances établies selon un plan en U autour d'une cour ouverte à l'ouest. Un jardin découpé en carrés s'étendait en face du logis. Une allée traversait le chemin longeant la Dordogne et conduisait à l'embarcadère. Le plan complexe de l'aile orientale des dépendances permet de supposer qu'elle était constituée de constructions plus anciennes. Le logis de plan barlong se composait d'un corps principal à quatre travées, dominé du côté de la rivière par un pavillon central et du côté de la cour par un pavillon latéral dans lequel était établi l'escalier en maçonnerie. La demeure n'a pas été terminée car le second pavillon latéral n'a jamais été construit ; elle fut détruite en 1967 sauf la travée centrale avec pavillon et la partie gauche inachevée. A l'intérieur une cheminée et des portes datent du début du 18e siècle, d'autres cheminées ont été remaniées au début et à la fin du 19e siècle, date à laquelle on construisit l'escalier en charpente.
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description
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Entourée de constructions récentes, la maison dite château de Lansac est située à la limite de l'ancien village et à proximité de la Dordogne dont elle est séparée par une route. Au centre d'un jardin la demeure est constituée d'un corps de logis à un étage carré dominé à l'arrière par un pavillon. On accède à l'ensemble par une allée qui traverse un terrain inoccupé ; un pigeonnier s'élève dans cette partie du jardin. Les murs de la demeure sont en pierre de taille ; des tuiles creuses couvrent le corps de logis, le pavillon est couvert d'ardoise. Un toit à longs pans couvre l'étage et un toit brisé couvre le pavillon. L'élévation antérieure présente deux travées à un étage carré. La porte principale est inscrite dans la travée de droite ; elle est encadrée de tores. L'élévation postérieure tournée vers la rivière est dominée par un pavillon à étage de comble éclairé par une fenêtre de lucarne pendante. La porte, située dans le pavillon, est flanquée de deux demi-croisées. De larges moulures plates quadrillent les élévations ; des corniches règnent sur les baies et un fronton cintré surmonte chaque lucarne. Le rez-de-chaussée est distribué par un couloir placé le long de l'élévation antérieure mais les pièces communiquent aussi en enfilade ; un escalier en charpente conduit à l'étage. Une cheminée et des portes à panneaux complètent le décor intérieur. Les dalles qui constituent le perron semblent être d'anciennes marches d'escalier en vis. La demeure actuelle représente la moitié de la précédente qui elle-même n'avait jamais été achevée.
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élévation
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élévation à travées
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étages
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1 étage carré ; étage de comble
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escaliers
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escalier dans-oeuvre ; escalier tournant ; en charpente
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gros-oeuvre
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calcaire ; pierre de taille
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couverture (type)
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toit à longs pans ; pignon couvert ; toit brisé en pavillon
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couverture (matériau)
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ardoise ; tuile creuse
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décor
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sculpture
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représentation
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fronton ; monogramme
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Des frontons cintrés couronnent les lucarnes. Le monogramme I G I orne le linteau d'une cheminée.
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typologie
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pavillons à étages
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propriété
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propriété privée
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type d'étude
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inventaire topographique
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rédacteur(s)
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Maffre Marie-Hélène
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référence
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IA33001388
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© Inventaire général
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enquête
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2003
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date versement
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2006/11/24
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date mise à jour
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2008/11/13
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dossier en ligne
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Contact service producteur
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service producteur
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Conseil régional d'Aquitaine - Service chargé de l'inventaire 54, rue Magendie 33077 Bordeaux Cedex - 05.57.95.02.02
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