|
Inventaire général du patrimoine culturel
|
édifice / site
|
Ferme
|
localisation
|
Rhône-Alpes ; Ardèche ; Rochepaule
|
aire d'étude
|
Saint-Agrève
|
lieu-dit
|
Marconnet
|
dénomination
|
ferme
|
parties non étudiées
|
logement ; jardin ; réservoir ; abreuvoir ; four à pain
|
époque de construction
|
17e siècle ; 18e siècle
|
siècle détail
|
1er quart 19e siècle ; 2e quart 20e siècle
|
année
|
1800
|
auteur(s)
|
maître d'oeuvre inconnu
|
historique
|
Le compoix de 1653 signale noble Gaspar de Lermusières propriétaire à Marconnet. Le logis de la ferme conserve des fenêtres avec appui mouluré qui pourraient dater du 17e siècle. Au 18e siècle, la carte de Cassini mentionne la ferme de Marconnet : la grange et l'étable montrent des portes charretières au couvrement d'arc surbaissé et chanfreiné datables de cette époque. En 1800 (date portée) , une porte haute est ménagée dans l'élévation postérieure de la grange. Le cadastre de 1835 indique une parcelle bâtie dont l'emprise au sol est proche de celle reproduite sur le cadastre de 1985 ; seul le four à pain n'apparaît plus sur le cadastre actuel (il n'en subsiste que les vestiges). En 1947-1948 le second logis est profondément remanié : surélévation du bâtiment et création d'un toit en pavillon, transformation des ouvertures.
|
description
|
Ferme à bâtiments séparés. Les murs et les encadrements d'ouvertures sont en moellon de granite et de gneiss. Le corps de logis 1 comprend un étage de soubassement partiellement masqué par une rampe d'accès maçonnée commune au corps de logis, en rez-de-chaussée surélevé, et à la grange qui lui est perpendiculaire. Un passage voûté, en berceau surbaissé, est ménagé dans la montée de grange maçonnée ; il précède ainsi la porte de cave. La grange-étable présente deux ouvertures dans le mur pignon : l'une pour l'étable en étage de soubassement, l'autre pour la grange en rez-de-chaussée surélevé. Le logis 2 comprend un rez-de-chaussée, un étage carré et un étage en surcroît couvert d'un toit en pavillon. Le logis 1 et la grange-étable sont couverts d'un toit à longs pans. L'étable des chèvres mentionné sur le cadastre (parcelle 138) est aujourd'hui en ruine. Le jardin potager, en terrasse, présente des murs de soutènement dont certains conservent des moellons de pierre enchâssés perpendiculairement, à la manière d'une boutisse, pour servir de marches d'escalier. Une source, un réservoir et un abreuvoir sont installés à proximité de la ferme.
|
étages
|
étage de soubassement ; rez-de-chaussée surélevé ; 1 étage carré ; étage en surcroît
|
escaliers
|
rampe d'accès
|
gros-oeuvre
|
granite ; gneiss ; moellon
|
couverture (type)
|
toit à longs pans ; toit en pavillon
|
couverture (matériau)
|
tuile plate mécanique
|
couvrement
|
voûte en berceau
|
typologie
|
Ferme à bâtiments séparés
|
état
|
remanié
|
propriété
|
propriété privée
|
type d'étude
|
inventaire topographique
|
rédacteur(s)
|
Hartmann-Nussbaum Simone ; Sauzade Lionel
|
référence
|
IA07000116
|
|
© Inventaire général du patrimoine culturel, Région Rhône-Alpes
|
enquête
|
1998
|
date versement
|
2006/01/20
|
date mise à jour
|
2008/01/23
|
dossier en ligne
|
|
|
Contact service producteur
|