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Inventaire général du patrimoine culturel
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édifice / site
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jardin d'agrément de la Villa Bonvouloir
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localisation
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Midi-Pyrénées ; Hautes-Pyrénées ; Bagnères-de-Bigorre
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aire d'étude
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Hautes-Pyrénées
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adresse
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41 rue du Général de Gaulle
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dénomination
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jardin d'agrément
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édifice contenant
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demeure
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4
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parties non étudiées
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arbre isolé ; groupe d'arbres ; topiaire ; massif de fleurs ; pelouse
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jardin
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arbre isolé ; groupe d'arbres ; topiaire ; massif de fleurs ; pelouse
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époque de construction
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milieu 19e siècle ; 3e quart 19e siècle
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auteur(s)
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maître d'oeuvre inconnu
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historique
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Le jardin et l'emprise de la demeure figurent sur le grand plan quarellé de Bagnères (1864) visible à la mairie (salle du Conseil). Leur création est donc antérieure à 1864. La figuration adoptée pour le jardin est celle d'un plan irrégulier de type paysager. L'entrée du jardin se situait dans l'angle sud-ouest de la propriété, à l'opposé de l'entrée actuelle. La parcelle est à cette date de forme pentagonale. L'emprise au sol du jardin était beaucoup plus étendue vers l'ouest comme le montrent des cartes postales des années 1900 (le terrain a été amputé de plus d'un tiers de sa surface, vraissemblablement à une date récente). En revanche, il a été étendu vers le nord; cependant, la rareté des sujets de grande taille dans cette partie indique qu'il y a eu peu de plantations après son acquisition. Des plates-bandes et des massifs fleuris ornaient les pelouses tout autour de la maison. On observe de nombreux jeunes conifères sur tout le pourtour (plantations plutôt serrées). La palette végétale arborée relevait du catalogue en vigueur à cette période (années 1860-1870).
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description
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L'entrée actuelle dans le jardin vers la villa se fait depuis l'angle sud-est. Une ancienne allée qui longeait le jardin à l'est a maintenu son alignement de tilleuls. Une aire engravillonnée spacieuse entoure la villa. Les plantations d'origine, de taille monumentale, sont concentrées sur la partie méridionale du jardin : deux catalpas, deux houx, un gingko biloba, un magnolia grandiflora, un métaséquoïa, ainsi que divers conifères. Elles sont beaucoup plus rares au nord du jardin occupé surtout par une pelouse : un érable et deux chênes anciens, en limite de parcelle. Un aulne tardif est venu masquer les deux premiers niveaux de loggias sur l'arrière.
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plan
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jardin irrégulier
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élévation
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jardin de niveau
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typologie
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jardin irrégulier
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propriété
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propriété d'un organisme professionnel
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type d'étude
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enquête thématique régionale (jardins remarquables)
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rédacteur(s)
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Fournier Claire
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référence
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IA65000441
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© Inventaire général Région Occitanie
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enquête
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2014
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date versement
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2017/02/16
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dossier en ligne
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