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Réponse n° 64

  Inventaire général du patrimoine culturel
édifice / site quartier des Hospices
localisation Ile de France ; Val-de-Marne ; Cachan
aire d'étude Cachan
lieu-dit Quartier des Hospices
dénomination quartier
époque de construction 16e siècle ; 18e siècle ; 4e quart 19e siècle ; 1er quart 20e siècle ; 2e quart 20e siècle
historique Le quartier des Hospices est borné à l'ouest par la rue de Provigny, au sud par la rue Marx-Dormoy, à l'est par un tronçon de la rue Camille-Desmoulins et la rue du Docteur-Hénouil, au nord enfin par le territoire d'Arcueil. Ce quartier regroupe trois établissements qui ont donné son caractère à ce quartier : l'hospice ou maison de retraite Saint-Joseph, ouvert en 1864 mais dont les bâtiments actuels datent des années 1880, l'hospice Raspail, installé dans la demeure de Benjamin Raspail léguée en 1899 au département de la Seine (hospice fermé en 1978) , enfin la maison de retraite Cousin de Méricourt, construite en 1913 dans le parc de la propriété léguée au département par Mme de Provigny. Hormis l'hospice Saint-Joseph, installé le long d'une voie (la rue des Tournelles) peuplée au moins dès le 18e siècle et dont la plupart des maisons furent détruites pour implanter l'hospice en 1880, les deux autres établissements ont été établis sur de grandes propriétés dont le logis remonte, l'un au 16e siècle (château dit fief des Arcs) , et l'autre au 18e siècle (demeure Raspail) : ils demeurent des témoins, avec leur cadre de verdure partiellement conservé, des maisons de plaisance existant sur les bords de Bièvre avant la Révolution. Seule grande propriété à avoir été lotie, à la fin du 19e siècle, celle séparant les hospices Raspail et Cousin de Méricourt, qui donna naissance au lotissement de la rue Raspail. L'hôtel de ville fut construit en 1935 à l'ouest de l'hospice Raspail, et les maisons anciennes qui le séparaient des rues Galliéni et Camille-Desmoulins furent progressivement détruites au cours des décennies suivantes au profit d'un parc de stationnement. Les maisons bordant la rue du Docteur-Hénouil ayant à leur tour été détruites dans les années 1980, il ne subsiste rien (à l'exception des deux demeures citées plus haut) du hameau de Cachan antérieur au milieu du 19e siècle.
type d'étude inventaire topographique
rédacteur(s) de Massary Xavier
référence IA94000372
  © Inventaire général
enquête 1997
date versement 1999/02/01
date mise à jour 2007/07/27
crédits photo Décamps, Christian - © Inventaire général, ADAGP
 
dossier en ligne
 
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Requête ((Cachan) :AIRE )
Relations Synonymes=1 Spécifiques=9 Génériques=0