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Réponse n° 3563

  Inventaire général du patrimoine culturel
édifice / site Fortification d'agglomération
localisation Lorraine ; Meurthe-et-Moselle ; Longwy
aire d'étude Longwy
lieu-dit Longwy haut
dénomination fortification d'agglomération
parties non étudiées fossé ; ouvrage avancé ; porte de ville ; corps de garde ; pont
époque de construction 4e quart 17e siècle ; 18e siècle ; 19e siècle
année 1679 ; 1680 ; 1683 ; 1760 ; 1822 ; 1827 ; 1859 ; 1883
auteur(s) Choisy Thomas de (ingénieur militaire) ; Vauban Sébastien Leprestre de (maître d'oeuvre) ; Boisot Claude (ingénieur militaire) ; Favar Jean-Baptiste (ingénieur militaire) ; Bonnafau Louis de (ingénieur militaire) ; Chermont Alexandre de (ingénieur militaire) ; Halle Jacques (ingénieur militaire) ; Cressy Etienne de (ingénieur militaire) ; Renaudière Arnould de (ingénieur militaire) ; Chermont Henri Claude de (ingénieur militaire) ; Roger Nicolas (ingénieur militaire) ; Laverde Pierre de (ingénieur militaire) ; Lambert (ingénieur militaire) ; Pinsard Jean-Gabriel (ingénieur militaire) ; Salle de La (ingénieur militaire) ; Touros de Million Charles-François, ou : Million Charles-François Touros de (ingénieur militaire) ; Saint-Guedal Henri-Charles de (ingénieur militaire) ; Poutrasse (ingénieur militaire) ; Massieu Victor de (ingénieur militaire) ; Chermont Claude Nicolas de (ingénieur militaire) ; Robert Jean-Baptiste (ingénieur militaire) ; Mazin Charles Guillaume (ingénieur militaire) ; Cormontaigne (ingénieur militaire) ; Varlet de La Vallée Charles, ou : La Vallée Charles Varlet de (ingénieur militaire) ; Zachée Joseph (ingénieur militaire) ; Guillemard Arnould I (entrepreneur)
historique Fortifications d'agglomération construites de 1679 à 1690 (datation par source et par travaux historiques) , la première pierre étant posée en 1680 (datation par source) , sous l'angle du bastion 1, dit du Faubourg. Porte de France construite en 1683, date portée (date apocryphe). Ouvrages isolés (lunettes de Bourgogne, de France et du Précipice) ajoutés entre 1730 et 1751, d'après observations des plans. Pont dormant de la porte de France reconstruit en 1760 (date portée). Perfectionnement du système défensif à partir de 1789 (datation par travaux historiques) , inachevé au moment du siège de 1792, avec construction d'un cavalier dans l'ouvrage à corne. Redoute construite sur le site de l'ancien château entre 1789 et 1792 (datation par travaux historiques) pour commander la vallée de la Moulaine et les plateaux de Mexy et de Pulventeux. Prolongement du passage de la porte de France en 1822 (date portée par l'intrados de la voûte). Travaux de renforcement, en arrière de la demi-lune 7 et de la première porte de France, effectués en 1827 (datation par source et date portée par la tablette de la contrescarpe de la demi-lune). Restauration de la porte de France en 1859 (date portée). Escalier installé dans la gorge de la demi-lune 7 après 1870-1871 (datation par travaux historiques). Casemate de la porte de France construite en 1883 (datation par travaux historiques). Redoute du vieux château améliorée en 1884 (datation par travaux historiques). Une autre redoute, dite de Romain ou du bel arbre, étant construite la même année sur le vieux chemin de Romain. Destruction en 1827 de la lunette 32, dite de Bourgogne et en 1914 de la porte de Bourgogne avec éboulement des courtines l'entourant. Percement d'une route dans le bastion 1, dit du bourg, entre 1920 et 1926, prolongée vers le nord en 1930. Destruction et comblement de toutes les parties non classées entre 1921 et 1926 puis en 1953-1954 pour permettre l'accroissement de la ville (enceinte entre bastion 3 conservé partiellement et bastion 6 conservé en totalité). Destruction de l'ouvrage à corne et de la lunette 35, dite du fort de Bitche, après déclassement M. H. en 1958. Marques de tâcheron
description Fortifications d'agglomération de plan hexagonal comprenant 6 bastions dénommés, à partir du sud, numéro 1 dit du Bourg, numéro 2 dit Notre-Dame, numéro 3 dit Saint-Martin, numéro 4 dit de la Colombe, numéro 5 dit de Luxembourg, numéro 6 dit du Château ; 5 demi lunes dont numéro 7 dit de la porte de France, numéro 8 dite du Précipice, numéro 13 dite de la porte de Bourgogne, numéro 14 dite de la Colombe, numéro 15 dite du Château ; un ouvrage à corne entre les bastions 2 et 3 ; 3 ouvrages isolés dits lunettes de Bourgogne, de France et du Précipice ; 2 corps de garde près des 2 portes ; ponts
plan système bastionné
élévation élévation ordonnancée
étages sous-sol ; 2 étages carrés
escaliers escalier isolé : escalier en vis sans jour, en maçonnerie
gros-oeuvre calcaire ; pierre de taille ; moellon
couverture (type) toit à longs pans ; toit à longs pans brisés ; croupe ; toit en pavillon ; terrasse ; toit conique
couverture (matériau) ardoise
couvrement voûte en berceau ; voûte d'arêtes
décor sculpture
représentation trophée ; drapeau ; bouclier ; canon ; lance ; carquois ; flèche ; armure ; sabre ; cartouche ; chute ; casque ; fusil ; épée
  sujet : pistolet, arc, faisceau de licteur ; sujet : trophée, support : tympan de la porte de France, côté campagne, chute ; support : pilastres de la porte de France ; sujet : trophée, support : motif amortissant les pilastres de la porte de France
état vestiges ; mauvais état
propriété propriété publique
protection MH 1913 : classé MH partiellement ; 1933 : classé MH partiellement
type d'étude inventaire topographique
rédacteur(s) Jacops Marie-France ; Guillaume Jacques ; Pagny Raymond
référence IA00074438
  © Région Lorraine - Inventaire général
enquête 1972
date versement 1992/01/20
date mise à jour 2013/09/13
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Requête ((entrepreneur) :AUTR )
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