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Inventaire général du patrimoine culturel
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édifice / site
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Château fort ; église paroissiale Sainte-Marie-Madeleine, collégiale
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localisation
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Auvergne ; Puy-de-Dôme ; Laqueuille
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aire d'étude
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Rochefort-Montagne
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destinations successives
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collégiale
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dénomination
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château fort ; église paroissiale
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objets mobiliers
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époque de construction
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Milieu du Moyen Age ; 4e quart 15e siècle ; 2e quart 19e siècle
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siècle détail
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4e quart 18e siècle ; 1er quart 19e siècle ; 4e quart 19e siècle ; 2e quart 20e siècle
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auteur(s)
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Ledru (architecte) ; Vergnol François (peintre)
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historique
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Le château fort de Laqueuille a entièrement disparu (les derniers vestiges ont été démolis vers 1830) , mais son ancienne chapelle castrale Sainte-Marie-Madeleine a été l'objet de plusieurs transformations. Construite probablement pendant la période romane, la chapelle castrale est remaniée à la fin du 15e siècle, au moment où elle devient église paroissiale et où elle est érigée en collégiale. Un chapitre est en effet fondé en 1492 par le seigneur Charles de Laqueuille et sa deuxième épouse. Ce chapitre est confirmé en 1499 par le pape Alexandre VI. A la fin du 18e siècle, l'église n'est pas en très bon état ; à la suite d'une visite pastorale de 1782, l'évêque ordonne diverses réparations : chapelles reblanchies (il y avait des taches d'humidité en plusieurs endroits) , pavé entièrement refait, charpentes et toitures resuivies ; enfin, murs extérieurs réparés et recrépis. A cette époque, le chapitre est composé de 7 chanoines, dont un doyen qui est aussi curé. Malgré tout, les officiers municipaux signalent, en 1792, l'état de délabrement de l'édifice. Il semblerait que des réparations aient été effectuées en 1809. En 1826, Ledru établit un projet de travaux de reconstruction du clocher et de réparations de l'église. Ces travaux, réalisés par l'entrepreneur Annet Merle, sont terminés en février 1829. En 1877, un devis est dressé par l'architecte Antoine Gardin, pour la construction d'une galerie couverte, joignant le choeur à la nouvelle sacristie édifiée après 1874. A la même époque, des travaux de décoration et de peinture murale à l'huile sont réalisés dans l'église par le peintre-décorateur François Vergnol ; ces décors ont aujourd'hui disparu. En 1890/1891, les dalles de schiste de la toiture sont remplacées par de l'ardoise de Brives, selon un devis d'Antoine Gardin. Une horloge est installée dans le clocher en 1890, par l'horloger Auguste Boure. Un nouveau projet de sacristie est dressé en 1937/1938, par Charles Marc, alors qu'un bureau de Poste est construit à l'emplacement de l'ancienne sacristie et de son passage couvert.
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description
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La nef et le choeur sont voûtés d'ogives, les chapelles sont voûtées en berceau. Jusqu'à la hauteur des voûtes, l'escalier du clocher est un escalier dans-oeuvre, en vis, en pierre ; au-delà, jusqu'à la chambre des cloches, il y a un escalier dans-oeuvre, droit, en bois.
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plan
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plan allongé
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étages
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1 vaisseau
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escaliers
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escalier dans-oeuvre : escalier en vis, en maçonnerie ; escalier dans-oeuvre : escalier droit, en charpente
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gros-oeuvre
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andésite ; basalte ; moellon ; pierre de taille
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couverture (type)
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toit à longs pans ; croupe polygonale ; flèche polygonale
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couverture (matériau)
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ardoise
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couvrement
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voûte en berceau ; voûte d'ogives
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décor
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sculpture
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représentation
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tête
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Support : culots.
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typologie
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chevet polygonal ; clocher porche
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propriété
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propriété publique
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type d'étude
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inventaire topographique
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rédacteur(s)
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Ceroni Brigitte
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référence
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IA63000206
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© Région Auvergne - Inventaire général du patrimoine culturel
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enquête
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1996
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date versement
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2004/05/11
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date mise à jour
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2015/10/29
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dossier en ligne
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Contact service producteur
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service producteur
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Conseil régional d'Auvergne - Service régional de l'Inventaire 13-15, avenue de Fontmaure - BP 60 - 63402 Chamalières - 04.73.31.85.29
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