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Inventaire général du patrimoine culturel
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édifice / site
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ardoisière des Lacs
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localisation
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Bretagne ; Ille-et-Vilaine ; Cornillé
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aire d'étude
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Ille-et-Vilaine
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lieu-dit
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les Lacs
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dénomination
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ardoisière
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parties non étudiées
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excavation ; logement patronal
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époque de construction
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milieu 19e siècle
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auteur(s)
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maître d'oeuvre inconnu
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historique
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Ardoisière exploitée par M. Hue Beaulieu en 1852. Du 1er juillet 1865 au 1er juillet 1866, la valeur des produits fabriqués représente 28 800 f, soit l'équivalent de 1 800 milliers d'ardoises fabriquées. En 1866, suite à deux éboulements considérables, l'ardoisière est abandonnée. A partir des années 1940, la carrière est de nouveau exploitée. La nouvelle entreprise Hériau tente de valoriser les déchets de taille en fabricant, par concassage et broyage, des paillettes utilisables dans la fabrication de fausses ardoises (shingles) essentiellement exportées vers les Pays Bas et l'Allemagne. L'ardoisière cesse son activité vers 1980-1985. En 1854, M. Hue Beaulieu est autorisé à faire usage d'une chaudière à vapeur à deux bouilleurs, de forme cylindrique, issue des ateliers du constructeur Galle, à Nantes (44) , et d'une machine à vapeur qui développe une puissance de 12 ch pour servir à l'exhaure et à l'extraction de la pierre d'ardoise. En 1866, l'ardoisière des Lacs emploie cinquante ouvriers.
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description
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Site dont il ne subsiste que l'excavation située non loin du logis patronal. Celui-ci présente un caractère monumental. Il se compose de plusieurs corps de bâtiment en schiste et en pierre d'ardoise. Il comprend, au centre, un corps de passage, percé d'un arc en anse de panier surmonté d'une construction en pan de bois. De part et d'autre, se situent les corps de bâtiment principaux à un étage de soubassement, un rez-de-chaussée surélevé et un étage de comble. Au nord, le corps de bâtiment, couvert d'un toit à croupe en ardoise, est flanqué, sur sa façade postérieure, d'un petit bâtiment circulaire demi-hors-œuvre à toit conique. Au sud, un portique, percé d'arcades en plein cintre et couvert d'une étroite terrasse, dessert le rez-de-chaussée surélevé accessible, à l'extérieur, par un escalier droit. L'étage de comble, qui présente des lucarnes rampantes, est surmonté d'un toit à longs pans en ardoise. Un essentage d'ardoise couvre la partie haute du pignon postérieur.
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étages
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étage de soubassement ; rez-de-chaussée surélevé ; étage de comble
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escaliers
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escalier de distribution extérieur : escalier droit, en maçonnerie
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gros-oeuvre
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schiste ; moellon ; pan de bois ; essentage d'ardoise
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couverture (type)
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toit à longs pans ; toit conique ; croupe
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couverture (matériau)
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ardoise
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état
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établissement industriel désaffecté ; vestiges
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propriété
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propriété privée
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type d'étude
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patrimoine industriel
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rédacteur(s)
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Gasnier Marina
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référence
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IA35000692
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© Inventaire général
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enquête
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1998
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date versement
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2001/05/11
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dossier en ligne
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Contact service producteur
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