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Inventaire général du patrimoine culturel
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édifice / site
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Quartier Saint-Lazare
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localisation
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Haute-Normandie ; Eure ; Vernon
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aire d'étude
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Vernon
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lieu-dit
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Saint-Lazare (quartier)
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hydrographie
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ruisseau Montigny de
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dénomination
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quartier
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parties non étudiées
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école maternelle ; école primaire ; château
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époque de construction
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12e siècle ; 18e siècle ; 19e siècle ; 20e siècle
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historique
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Quartier établi extra muros entre le pourtour de l'ancienne ville, la voie ferrée Paris-Rouen inaugurée en 1843, la route de Rouen qui longe la Seine et l'avenue des Capucins. Dans un premier temps, le quartier correspond en grande partie aux terrains de l'ancienne léproserie Saint-Lazare et englobe certaines propriétés péri-urbaines construites au 18e siècle, telles que le château du Point du Jour, les villas de M. Ricquier et le château Saint-Lazare. A la fin du 19e siècle et au début du 20e siècle, il s'étend au champ de manoeuvres voisin, compris entre les rues Saint-Lazare, du Point-du-Jour, la route de Rouen et l'avenue des Capucins. De nombreux terrains existants furent lotis comme le parc du château Saint-Lazare ou le stade Bourdon (années 1920-1930). De nouvelles rues furent tracées, d'autres élargies (rue de Mai, rue des Soupirs) ; une zone pavillonnaire se développa et des établissements scolaires furent construits. Plusieurs plans de lotissements permettent de suivre les différentes phases de construction du quartier ; le cahier des charges qui les accompagne précise parfois quelle clientèle est visée. La zone de type pavillonnaire présente un parcellaire relativement homogène : parcelles le plus souvent allongées avec implantation du bâtiment légèrement en retrait sur la rue et un jardin étendu sur l'arrière. Certaines maisons sont jumelées (16 sur un ensemble de 204). On connaît peu de noms d'architectes (G. Devinat, Ch. Babet). Dans l'ensemble, il s'agit de maisons relativement modestes, construites en pierre calcaire, meulière ou brique et comportant un étage. Certaines, destinées à une clientèle plus bourgeoise, sont plus vastes et témoignent d'une recherche décorative s'apparentant aux villas suburbaines du début du 20e siècle (frise de céramique, aisselier, croupe débordante) ; les plus savantes comme les plus représentatives font l'objet d'une étude.
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gros-oeuvre
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calcaire ; brique ; pan de bois
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type d'étude
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inventaire topographique
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rédacteur(s)
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Bocard Hélène
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référence
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IA27000161
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© Inventaire général
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enquête
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1995
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date versement
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2003/12/30
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service producteur
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Conseil régional de Haute-Normandie - Service chargé de l'inventaire 2, rue Maladrerie 76000 Rouen - 02.32.08.19.80
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