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Inventaire général du patrimoine culturel
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édifice / site
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demeure appelée Château Sala ou Château de Saint-Pée, actuellement colonie de vacances
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localisation
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Aquitaine ; Pyrénées-Atlantiques ; Saint-Jean-le-Vieux
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aire d'étude
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Saint-Jean-Pied-de-Port
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lieu-dit
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Chau de Salla
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adresse
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C.D. 18
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destinations successives
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colonie de vacances
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dénomination
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demeure
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parties non étudiées
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puits ; communs ; dépendance
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époque de construction
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limite 18e siècle 19e siècle ; 2e quart 19e siècle
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siècle détail
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20e siècle
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auteur(s)
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maître d'oeuvre inconnu
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personnalité(s)
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Etcheverry Louis (commanditaire)
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historique
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Un château de Sant Per fut détruit en 1177 par Richard Coeur de Lion, sans que l'on sache exactement où il se trouvait : sur la motte Mendi Kaxko (dans le bourg de Saint-Jean-le-Vieux) , à l'emplacement de l'édifice étudié ou un autre endroit. Il faut aussi mentionner l'existence d'une maison Donapetria (Saint Pierre en basque). Selon l'abbé Pierre Haristoy, au 14e siècle, "la maison (...) fut bâtie sur un terrain obtenu du roi [de Navarre] par un Sault, fils du seigneur de Saint-Pée, en Labourd ; en souvenir de son pays natal, il l'appela du nom de Saint-Pée". Cette affirmation reste encore à vérifier. Gratien de Luxe, seigneur de Saint-Pée, fut gouverneur des possessions navarraises au nord des Pyrénées en 1459. La famille Salha devint une première fois propriétaire du château à la fin du 16e siècle, puis au 18e siècle, la maison étant ainsi appelée indifféremment depuis cette époque château Sala ou château de Saint-Pée. La demeure actuelle remonte à la limite des 18e siècle et 19e siècles si l'on s'en tient à son architecture et à son style. Le bâtiment a été restauré dans le 2e quart du 19e siècle par Louis Etcheverry, député, fondateur du journal "Escualduna" en 1887. Le bâtiment est étant détruit, les communs en aile ont ainsi cessé de former une cour intérieure. Les communs dans le parc ont, eux, été construits aux alentours des années 1850, comme l'indique la date 1848 sur le linteau d'une porte. Actuellement, la demeure accueille des colonies de vacances. Des restaurations importantes courant 20e siècle ont eu lieu pour mettre aux normes l'ancienne demeure, tant intérieurement qu'extérieurement.
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description
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Le corps principal, de plan rectangulaire, est cantonné de tourelles de plan carré demi-hors-oeuvre. Le corps principal est surmonté d'un toit à longs pans à croupe couvert d'ardoises, les tourelles de toits en pavillon couverts d'ardoises également. L'ensemble possède deux étages carrés. L'édifice possède une élévation antérieure ordonnancée à cinq travées de fenêtres à encadrement de grès et à linteaux en arc segmentaire. Ces mêmes fenêtres se rencontrent dans les élévations latérales. Chaque tourelle possède une travée unique de demi-croisées. L'élévation postérieure possède un petit balcon en fer forgé au-dessus de la porte d'entrée. Des communs en aile à un étage carré et formant un retour d'équerre sont accotés à droite de la demeure. Ils sont sous un toit à deux pans et un toit en croupe surmontés d'ardoises. Des appentis sont accolés à ces communs en élévation antérieure et postérieure. Face à l'entrée, un puits est situé dans l'axe de l'allée. Dans le parc, se trouvent des dépendances recouvertes de tuiles plates mécaniques et de tuiles creuses.
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élévation
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élévation ordonnancée
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étages
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2 étages carrés
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gros-oeuvre
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enduit
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couverture (type)
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toit à longs pans ; croupe ; demi-croupe ; pignon couvert ; toit en pavillon ; appentis
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couverture (matériau)
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ardoise
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état
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restauré
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propriété
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propriété privée
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type d'étude
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inventaire topographique
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rédacteur(s)
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Pécheux Barbara ; Iñarra Emmanuel
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référence
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IA64000935
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© Inventaire général ; © Conseil général des Pyrénées-Atlantiques
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enquête
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2000
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date versement
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2004/09/21
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Contact service producteur
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service producteur
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Conseil régional d'Aquitaine - Service chargé de l'inventaire 54, rue Magendie 33077 Bordeaux Cedex - 05.57.95.02.02
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