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Inventaire général du patrimoine culturel
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édifice / site
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église paroissiale Notre-Dame
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localisation
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Aquitaine ; Lot-et-Garonne ; Pinel-Hauterive
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aire d'étude
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Monclar
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lieu-dit
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Pinel
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dénomination
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église paroissiale
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objets mobiliers
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époque de construction
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12e siècle ; 15e siècle, 16e siècle (?)
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siècle détail
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4e quart 19e siècle
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année
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1894
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auteur(s)
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maître d'oeuvre inconnu
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historique
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Les vestiges les plus anciens de l'église datent probablement du 12e siècle ; de cette époque sont conservés le portail roman au sud et peut-être les murs du chevet. Georges Tholin a fait une rapide description de l'édifice avant sa restauration : l'église était dépourvue de travée de choeur et l'abside, à peine plus large que la nef, était délimitée par deux dosserets plats. Des deux chapelles ouvertes en brèche au sud, qu'il décrit "dans le style du 15e siècle", seuls subsistent les arcs d'entrée murés ; d'après leur mouluration, semblable à celle de nombreux édifices de l'Agenais, elles paraissent plutôt datables de la première moitié du 16e siècle. Le clocher-mur appartient vraisemblablement à cette campagne. En 1869, les habitants se plaignent de l'état de vétusté du mur nord, due à la suppression d'une maison autrefois adossée à l'église, et à une vieille sacristie ruinée. Une importante restauration en 1894 d'après le devis établi par Ratié, réalisée par l'entrepreneur Michel Frayssinet, aboutit à la suppression des chapelles, au voûtement de la nef et du choeur, à la réfection complète du décor intérieur. Des inscriptions sur les chapiteaux donnent les noms des personnalités ayant contribué aux travaux : A. JUMIN SACRISTAIN, CASTET CHANTRE, E. BEBOULENE, G. RENOUX, L. DURAND, C. BELIVIE, et les initiales L.A.G.P., P.G.A.M. sur les chapiteaux du choeur. Le chevet et le mur nord ont été récemment enduits.
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description
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L'église, entourée de son cimetière, est située sur un promontoire dominant la vallée du Lot. Seul les matériaux du mur sud, de la fin du 19e siècle, sont visibles : il est bâti en moellons de calcaire et tuf mêlés. Les autres murs sont enduits. Des lacunes dans l'enduit révèlent que la partie supérieure du clocher est en brique. La nef simple est voûtée en berceau pour la première travée, en berceau et d'arêtes pour les deux autres travées ; le choeur en abside est voûté en cul-de-four. Le clocher-mur est percé de trois baies campanaires.
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plan
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plan allongé
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étages
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1 vaisseau
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gros-oeuvre
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tuf ; calcaire ; moellon ; brique ; enduit partiel
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couverture (type)
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toit à longs pans ; pignon découvert ; croupe
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couverture (matériau)
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tuile creuse
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couvrement
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voûte en berceau plein-cintre ; voûte d'arêtes ; cul-de-four ; en brique
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décor
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sculpture
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représentation
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ornement à forme végétale ; billette
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Le décor sculpté du portail roman, en tuf, est très usé ; on distingue néanmoins un décor végétal sur les chapiteaux, décrit comme de longues feuilles par G. Tholin, des entrelacs sur le premier rouleau de la voussure et des billettes sur le rouleau d'archivolte. Les chapiteaux intérieurs néo-romans, différenciés, sont décorés d'ornements végétaux : fleurs de lys, trèfle, feuilles de chêne, pommes de pin....
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état
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restauré
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propriété
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propriété de la commune
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type d'étude
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inventaire topographique
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rédacteur(s)
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Beschi Alain
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référence
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IA47002013
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© Inventaire général
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enquête
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2000
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date versement
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2002/05/06
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date mise à jour
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2006/06/26
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dossier en ligne
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Contact service producteur
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