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Inventaire général du patrimoine culturel
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édifice / site
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quartier du Blanc-Seau
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localisation
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Nord-Pas-de-Calais ; Nord ; Tourcoing
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aire d'étude
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Tourcoing
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lieu-dit
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Blanc-Seau (quartier du)
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dénomination
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quartier
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époque de construction
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2e quart 19e siècle
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année
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1841 ; 1846 ; 1857 ; 1867
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historique
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A la fin du 13e siècle, le hameau du Blanc-Seau apparaît sur la carte de Tourcoing. L'origine de son nom vient certainement d'un nom d'enseigne peinte au-dessus de la porte d'une ancienne maison, moitié ferme, moitié estaminet, qui se situait près du chemin des Louchets, aujourd'hui rue de Wattignies. En 1841, le quartier a souhaité s'affranchir de la tutelle de Tourcoing et être réuni à la commune de Mouvaux. Demande refusée par cette dernière, qui voyait d'un mauvais oeil le rattachement de ce quartier assez pauvre (13 contribuables pour 1000 habitants). En 1846, une nouvelle tentative pour obtenir une indépendance totale n'aboutit pas. En 1857, le Blanc-Seau redemande à nouveau l'indépendance, mais échoue encore. En 1867, le quartier demande en vain à être rattaché à Roubaix.
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description
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Le quartier dit du Blanc-Seau apparaît comme une petite ville dans la ville avec ses églises (Saint-Eloi, rue du Docteur Dupont ; Saint-Jean-l'Evangéliste, rue du Blanc Seau) , son cimetière (rue du Blanc Seau) , sa mairie-annexe (rue de Mouvaux) , ses écoles (boulevard Descat, rues des Villas, Claude Bernard, l'Homond et Molière). Les limites de ce quartier se situent au niveau de la voie ferrée, de l'église Saint-Jean-l'Évangéliste, de l'ancienne gare et du centre Mercure, et non au niveau du canal qui s'intègre totalement au quartier. Il ne crée en aucun cas une rupture mais plutôt une continuité. Le Blanc-Seau se compose de trois lotissements, très aérés et très ouverts. Le premier, rue Maxence Vandermeersch, offre un habitat répétitif en brique et couverture à longs pans, présentant quelques variantes au niveau des étages (soit 1 étage carré, soit 1 étage carré et 1 étage de comble). Le deuxième, rue des Frères Bruneel ou Emile Zola, avec des maisons jumelles en brique, à étage carré et toits à longs pans, offre lui aussi quelques variantes (3 faces construites en retrait par rapport à l'alignement ou 1 seule face). Ce lotissement rappelle les cités-jardins anglaises. Le troisième, dit du Congo, à l'emplacement de l'ancien Château Vaissier, présente un habitat plus individualisé. Chaque maison est différente, possède son propre caractère. Les terrains y sont plus spacieux. Le quartier se caractérise aussi par ses maisons ouvrières, rues Antoine Watteau, de Mézières ou Denfert-Rochereau : un même modèle se décline dans chaque rue, mais l'atmosphère y est très différente.
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gros-oeuvre
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brique
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couverture (type)
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toit à longs pans ; toit à longs pans brisés ; terrasse ; toit brisé en pavillon ; toit en pavillon
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couverture (matériau)
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ardoise ; tuile mécanique ; zinc en couverture
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type d'étude
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inventaire topographique (enquête partielle)
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rédacteur(s)
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Pedace Christelle ; Vandalle Claude
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référence
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IA59000511
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© Inventaire général
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enquête
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2000
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date versement
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2001/07/17
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date mise à jour
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2012/02/27
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service producteur
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Conseil régional du Nord - Pas-de-Calais - DAIRE 151 Bd Hoover 59555 Lille Cedex - 03 28 82 67 40
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