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Réponse n° 4603

  Inventaire général du patrimoine culturel
édifice / site Place du Ralliement
localisation Pays de la Loire ; Maine-et-Loire ; Angers
aire d'étude Angers intra-muros
lieu-dit Centre-ville (quartier)
dénomination place
édifice contenant Ville
4
parties étudiées théâtre ; bureau de poste ; café ; hôtel de voyageurs ; grand magasin ; immeuble ; hôtel ; maison
parties non étudiées immeuble ; boutique
partie(s) étudiée(s)
éléments remarquables élévation
époque de construction 18e siècle (détruit) ; 1ère moitié 19e siècle (détruit) ; 3e quart 19e siècle ; 4e quart 19e siècle
année 1825 ; 1835 ; 1845 ; 1853 ; 1857 ; 1870 ; 1871 ; 1872 ; 1878 ; 1879 ; 1881 ; 1887 ; 1897 ; 1936 ; 1974 ; 1994
auteur(s) Binet Mathurin (architecte) ; Richou Joseph (architecte) ; Botrel Adolphe (architecte) ; Magne Auguste (architecte) ; Aïvas Alexandre (architecte communal) ; Dussouchay René-Eugène (architecte) ; Dainville Ernest (architecte) ; Moirin François (architecte) ; Boussard Jean-Marie (architecte) ; Robin Ernest (architecte) ; Dubos Adrien (architecte) ; Jamard Henri (architecte) ; Perrin Bernard (sculpteur) ; Hogommat André (sculpteur) ; Roussel Daniel (architecte communal)
personnalité(s) Richou Joseph (commanditaire) ; Léchalas Médéric (commanditaire) ; Falsce Etienne (commanditaire) ; Panneton (commanditaire) ; Frémont Eugénie (commanditaire) ; Gazeau Valentin (commanditaire) ; Berthault Gaspard (commanditaire) ; Gasnault Armand (commanditaire) ; Boisdon Pierre (commanditaire) ; Moirin François (commanditaire) ; Renault-Lihoreau (commanditaire) ; Giffard Emile (commanditaire) ; Ferré Henri (commanditaire) ; Dejean Jean (commanditaire) ; Lorin Etienne (commanditaire) ; Léchalas Guillaume (commanditaire)
historique La destruction de trois collégiales, Saint-Mainboeuf, Saint-Maurille et Saint-Pierre à la Révolution, dès 1791 suite à leurs ventes comme biens nationaux, et le déclassement de leur cimetière, aboutissent à la constitution d'un vaste espace libre, très irrégulier. Cet espace passablement informe et très en pente prend d'abord le nom de place Saint-Maurille, puis du Ralliement (ainsi baptisée du fait des rassemblements civils et militaires).
Les premiers projets de régularisation datent de 1796-1798 : on pense à l'implantation de deux mails et d'un mur de soutènement face à la rue Chaussée-Saint-Pierre pour corriger la pente, ainsi qu'à centrer l'espace par un monument. Le front oriental, sur la partie haute de la place, évolue le premier par la démolition de la collégiale Saint-Mainboeuf, espace vacant introduisant une percée (dit le Marché aux fleurs) : son axialité est affirmée par une nouvelle voie - la rue Saint-Maurille - ouverte en 1797-1798 par l'ingénieur Demarie, sur l'ancien cimetière de l'église éponyme, selon un tracé oblique en contrepoint de la vieille rue Saint-Denis. Le front sud est rectifié plus tardivement, lors de la construction du nouveau théâtre municipal, oeuvre de l'architecte Mathurin Binet, inauguré en 1825 : l'édifice donnera l'alignement pour les demeures voisines, dont subsiste encore un immeuble de rapport (actuel n° 10) construit pour le notaire Médéric Léchalas dans les années 1830. La forte déclivité de la place (plus de 3 m d'est en ouest encore aujourd'hui) est alors atténuée par une terrasse de même niveau que le théâtre, dominant la rue Chaussée-Saint-Pierre (réalisation tardive du mur de soutènement) et liée à celle-ci par un escalier en fer à cheval.
D'autres immeubles sont construits dans ce 2e tiers du 19e siècle, ainsi sur le front nord, celui de l'architecte Joseph Richou pour lui-même vers 1835, en avant de la rue Cordelle (cadastre 1840 H2 540, détruit) , ou celui du tailleur Etienne Falsce au n° 9 de la place, la partie droite datant de 1845, l'extension gauche de 1853 (actuel hôtel de voyageurs Saint-Julien). Définissant un nouvel alignement vers nord-est, un hôtel des postes est également édifié sur ce front en 1853. Nouveau pôle en raison de sa centralité et de la présence du théâtre, la place voit se développer des commerces au rez-de-chaussée de certaines des maisons résidentielles, ou dans les anciennes cours antérieures d'hôtels particuliers. Des photographies du milieu du 19e siècle montrent en effet, notamment sur les côtés ouest et le saillant nord-ouest (qui subsiste jusqu'en 1878) , plusieurs demeures du 18e siècle qui bordaient auparavant les rues, le long des églises disparues : ainsi, le doyenné de Saint-Pierre (à l'emplacement de l'actuel n° 2) , l'hôtel Lemarié de la Crossonnière et des maisons de notables entre les rues de la Roë et Cordelle, ainsi qu'une vaste maison canoniale entre l'ancienne église Saint-Mainboeuf et la rue Saint-Denis (site des Galeries Lafayette).
L'incendie du théâtre en 1865 est à l'origine d'une recomposition générale de la place et des voies adjacentes. Après des hésitations quant à l'emplacement de sa reconstruction, en partie haute de celle-ci, ou plus à l'est encore sur l'ancien marché aux fleurs (bas de la rue d'Alsace, dont la création en 1868 s'accompagne d'une augmentation importante de la place) - il est finalement décidé de le maintenir à son emplacement précédent. Dans tous les cas envisagés, la place est régularisée selon un plan tendant au carré et bordée d'édifices homogènes. C'est le début de l'urbanisation haussmannienne d'Angers, favorisée par l'application en province de la réglementation parisienne d'expropriation. Dans la continuité du nouveau théâtre inauguré en 1871 (architectes Théodore Botrel puis Auguste Magne) , deux grands cafés sont édifiés de part et d'autre en 1872, formant une composition monumentale ordonnancée sur presque tout le grand côté sud : le Grand café de France à droite au n° 6, et le Café Gasnault à gauche au n° 8, construits par l'architecte de la ville Alexandre Aïvas respectivement pour les cafetiers Pierre Boisdon et Armand Gasnault.
Cet ensemble donne l'échelle de la nouvelle place : à l'exception des propriétés Léchalas et Falsce issues de l'ancienne place, mais de construction récente et plus facilement intégrée, les édifices d'habitation - tous des immeubles de rapport - sont reconstruits à une échelle monumentale entre 1870 et 1887, en respectant un modèle général d'élévation.
L'immeuble Panneton, au n° 2, est le premier réalisé, par l'architecte René-Eugène Dussouchay, portant la date 1870 sur un cartouche au bel étage côté rue de la Roë, et sert de référence. L'immeuble qui lui fait face de l'autre côté de la rue de la Roë, 36 rue Lenepveu, est également de R.-E. Dussouchay et date de la même année, réalisé pour Eugénie Frémont.
Puis vient le front nord-est, entre les rues Saint-Maurille et d'Alsace : l'immeuble, 2 rue Saint-Maurille achevé en 1871 par l'architecte Ernest Dainville pour le coiffeur Valentin Gazeau, et l'immeuble 11-13 place du Ralliement - 1 rue d'Alsace, construit en 1872 par l'architecte François Moirin pour le photographe Gaspard Berthault.
Est ensuite réalisé le front nord-ouest entre la rue Lenepveu et la rue Cordelle : l'immeuble, 1 place du Ralliement, pour le coiffeur Henri Ferré en 1878, et l'immeuble à deux unités, 3-5 place du Ralliement, pour l'épicier Jean Dejean (n° 3) et le négociant Etienne Lorin (n° 5) , en 1879.
Le dernier immeuble de rapport édifié sur la place correspond au n° 4, achevé en 1887 par l'architecte Ernest Robin pour Guillaume Léchalas, directeur d'assurances.
La recomposition de la place engendre également la reconstruction de la poste, à une échelle plus monumentale. Elle est l'œuvre de l'architecte des postes et télégraphes Jean-Marie Boussard, achevée en 1887 (signature et date portées sur le pilier de droite) et occupe désormais tout l'espace entre les immeubles Falsce et la rue Cordelle.
Par ailleurs, sur le côté sud-est de la place, entre les rues d'Alsace et Saint-Denis, est ouvert en 1881 le Grand Hôtel, œuvre de l'architecte François Moirin, pour lui-même en association avec le filateur Louis Renault-Lihoreau, puis le pharmacien Emile Giffard (dossier étudié) ; transformé pour Les Nouvelles Galeries en 1929, cet établissement illustre la typologie naissante des grands hôtels de voyageurs : doté de commerces en rez-de-chaussée et même d'un passage couvert, il confirme la vocation commerciale et économique de la place et son statut de nouveau centre-ville, au détriment de la vieille place des Halles (Louis-Imbach).
Les rez-de-chaussée et la plupart des entresols des immeubles sont impérativement à vocation commerciale et accueillent les plus belles enseignes en cette fin du 19e siècle : alimentation de luxe Pelé au n° 2 (le plus important de l'Ouest de la France en son domaine) , succursale angevine de La Belle Jardinière au n° 4, magasin de modes Audas et Joudon au n° 36 rue Lenepveu, magasin de confection A la Ville d'Elbeuf au n° 5, instruments de musique Metzner-Leblanc et photographie Berthault dans l'immeuble n° 11-13, sans compter les nombreux cafés : une situation favorisée par les percements et régularisation des voies débouchant sur cette place : la circulation y est la plus importante de la ville, augmentée par la création du tramway (implantation de l'aubette en bois des tramways en haut de la place en 1896, où convergent toutes les lignes).
L'aménagement de la surface même de la place (un problème récurrent en raison de sa déclivité) fait, dans ce contexte, l'objet d'un concours après la proposition sans suite d'une fontaine monumentale de la part de l'ingénieur de la ville. Le projet lauréat de l'architecte Adrien Dubos est daté de 1897 : l'aspect le plus original résidait dans une grande mosaïque qui aurait couvert tout l'espace central, rappelant les restes de mosaïques gallo-romaines trouvées lors des fouilles archéologiques de 1878. Mais faute de moyens, il n'est pas réalisé. On se contente de délimiter l'espace au sol en quatre parties par des pavés, à implanter en leur centre quatre candélabres et aux angles quatre vespasiennes et colonnes Morris.
En 1936, un édicule est construit en bas de la place par l'architecte Henri Jamard, à la fois abri pour les usagers des tramways et kiosque à journaux, en remplacement de l'abri du haut de la place qui avait déjà disparu. Dès ces années 1930, la place devient un parking automobile, qui dans le 3e quart du siècle, envahit tout l'espace central. Avec la construction d'un parking souterrain en 1970-1971, la place fait de nouveau l'objet d'un réaménagement complet : l'espace central devient un espace piétonnier, agrémenté d'une fontaine-sculpture monumentale en forme de rose, œuvre des sculpteurs Bernard Perrin et André Hogommat (1974).
Vingt ans plus tard, dans le cadre de la rénovation du théâtre, la place est encore transformée : des jeux d'eau remplacent la rose, un abri-terrasse de café est édifié sur la partie haute de la place par l'architecte de la ville Daniel Roussel. Cet agencement est encore amené à disparaître à l'horizon 2010 pour une refonte générale de la place dans le cadre de la réalisation du tramway et de la disparition de la circulation automobile.
Tous les édifices de la place refaite entre 1865 et 1887 sont encore en place, mais plusieurs ont fait l'objet de simplifications dans le décor, voire de rénovations plus drastiques. Les fronts sud (côté théâtre) et ouest sont dans l'ensemble proche de l'état d'origine ; quelques altérations sont observables sur les immeubles des n° 2 et 4, notamment la création d'une grande fenêtre au bel étage du n° 4 ou le ravalement de l'étage-attique du n° 2. Les deux autres fronts ont davantage souffert, simplification du décor pour le front est, ravalement prononcé pour le front nord, à l'exception de la poste (transformée en bureau des finances, puis en brasserie) , extérieurement préservée.
description La place du Ralliement est située sur la rive gauche, sur la pente du versant au coeur de la ville intra-muros, en position dominante au-dessus des quartiers populaires et portuaires. Entre Cité épiscopale et ancien quartier des Halles, elle constitue - avec son arsenal de rues neuves ou redressées sous le Second Empire - un carrefour essentiel pour les liaisons des quartiers intra-muros et des boulevards de ceinture, selon deux axes principaux : l'un, nord-sud entre les deux gares Saint-Serge et Saint-Laud (via les rues Lenepveu - Chaussée-Saint-Pierre - Chaperonnière -Toussaint) , l'autre, est-ouest, entre les quais et le mondain boulevard Maréchal-Foch et ses beaux quartiers extérieurs (via les rues de la Roë et d'Alsace).
La première place s'étendait sur environ 90 m de côté, irrégulière, avec notamment un saillant au nord-ouest et une construction en forte avancée entre la rue Cordelle et la rue Saint-Maurille. Le premier théâtre n'occupait que 40 m en extrémité droite du front sud, sans créer de ce fait la moindre centralité. Les photographies anciennes montrent essentiellement des hôtels particuliers et des maisons de notable, en schiste enduit et à deux étages carrés pour la plupart. Une inhabituelle maison canoniale à trois étages carrés se trouvait à gauche de l'entrée de la rue Saint-Denis. Quelques immeubles à élévation en tuffeau, à trois étages carrés, dont un avec déjà un entresol (10, place du Ralliement) , complètent la physionomie de la place.
L'actuelle place est un rectangle régulier de 95 m (côtés nord et sud) sur 80 m (côtés est et ouest) , inscrit à l'ouest dans la grande traverse nord-sud déjà citée, et axée à l'est sur une sorte de patte d'oie formée par la rue Impériale (Alsace) et ses deux diagonales (rues Saint-Denis et Saint-Maurille) , elles-mêmes connectées à l'axe inachevé des Lices - Chevreul.
La place est bordée par quatorze édifices : le théâtre, les deux grands anciens cafés de part et d'autre, l'ancienne poste devenue le bureau des Finances puis aujourd'hui une brasserie, l'ancien Grand Hôtel transformé en grand magasin, deux immeubles remembrés formant l'hôtel de voyageurs Saint-Julien, et huit immeubles de rapport.
Toutes les élévations sont en pierre de taille, tuffeau ou calcaire dur (poste) , la plupart en moyen appareil. Le théâtre, avec les deux cafés, formant une grande composition ordonnancée sur presque tout le front sud, constitue le pivot de la place. L'ancienne poste, l'autre grand édifice public, est édifié en contrepoint sur le front nord, la rotonde d'angle répondant en mineur à la grande travée centrale du théâtre.
Les autres constructions de la place, le Grand Hôtel comme les immeubles de rapport, sont construits sur le principe de l'immeuble haussmannien de Paris : rez-de-chaussée à usage commercial, entresol, étages carrés (ici, au nombre de deux) dont le premier est bordé par un balcon continu, un étage-attique également bordé par un second balcon continu. Les couvertures sont pour moitié à longs pans simples avec amortissements de lucarne (au moins à l'origine) , pour moitié à comble brisé. Le théâtre et la poste possèdent en outre des couvertures spécifiques, toit bombé, toit polygonal, dôme.
Le décor sculpté est important (il a beaucoup souffert) , au premier chef pour le théâtre - décor complexe, architectonique, ornemental et figuratif. La poste, le Grand Hôtel, les immeubles d'habitation présentent ou présentaient des pilastres colossaux (des colonnes pour la poste) , et une ornementation - frontons, plates-bandes, lucarnes - qui confèrent une grande homogénéité à la place.
Adresse des immeubles participant à l'ordonnance de la place : n°1 à 13, 2 à 14 et n°36, rue Lenepveu, n°2, rue Saint-Maurille.
élévation élévation ordonnancée ; élévation à travées
étages sous-sol ; rez-de-chaussée surélevé ; entresol ; 3 étages carrés ; étage en surcroît
gros-oeuvre tuffeau ; calcaire ; moyen appareil ; grand appareil ; bossage
couverture (type) toit à longs pans ; toit à longs pans brisés ; toit bombé ; toit polygonal ; dôme ; croupe ; pignon couvert ; noue
couverture (matériau) ardoise ; zinc en couverture ; verre en couverture
décor sculpture ; fonderie
représentation pilastre, colonne, ordre colossal, ordre ionique, ordre corinthien, tête : homme, tête : femme, médaillon, cartouche, feuillage, guirlande, palme, acanthe, ruban, ornement à forme géométrique, vase
  Les élévations du théâtre et du Grand Hôtel présentent un décor spécifique décrit dans les dossiers de ces édifices. La plupart des immeubles de la place, les cafés du théâtre, le Grand Hôtel, la poste sont rythmés par des pilastres colossaux (des colonnes pour la poste) avec chapiteaux le plus souvent corinthiens, plus rarement ioniques (la poste, l'immeuble n° 3-5). Ce dernier immeuble montrait des pilastres à bossages inspirés du théâtre (disparus). Des corniches, des frontons surmontent les ouvertures ou bien dessinent les amortissements de lucarne. L'immeuble n° 36 rue Lenepveu présente aux fenêtres du bel étage des médaillons de têtes de femme et d'homme de profil ; plus simplement, l'immeuble au n° 4 de la place est orné - aux mêmes fenêtres - de têtes de femme et d'homme de face, inscrites dans des cartouches. Le reste de la décoration des immeubles - fenêtres, trumeaux, consoles - est constitué de motifs végétaux et décoratifs. Des amortissements sous forme de vase soulignent les parties sommitales de la poste et de l'immeuble au n° 3-5 (disparus pour ce dernier).
état restauré
propriété propriété de la commune ; propriété privée
type d'étude inventaire topographique
rédacteur(s) Letellier-d'Espinose Dominique ; Biguet Olivier
référence IA49007108
  © Région Pays de la Loire - Inventaire général ; © Ville d'Angers
enquête 2006
date versement 2009/11/25
crédits photo Lasa, F. (reproduction) - © Région Pays de la Loire - Inventaire général, ADAGP
 
Contact service producteur
service producteur Région Pays de la Loire - Centre de ressources
1, rue de la Loire - 44966 Nantes cedex 09 - 02.28.20.54.70
 
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