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Inventaire général du patrimoine culturel
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édifice / site
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Usine de boutons Lesbroussart, puis Mercier et Cie
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localisation
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Picardie ; Oise ; Méru
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aire d'étude
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Oise
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adresse
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5 rue Mimaut
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dénomination
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usine de boutons
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parties non étudiées
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cour ; logement patronal ; entrepôt industriel ; bureau d'entreprise ; atelier de fabrication ; magasin industriel ; salle des machines
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éléments remarquables
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machine de production (étudiée dans la base Palissy)
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objets mobiliers
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époque de construction
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3e quart 19e siècle ; 3e quart 20e siècle
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auteur(s)
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maître d'oeuvre inconnu
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historique
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Les bâtiments de l'usine ont été construits dans les années 1870 par Lesbroussart (scierie et tabletterie d'os) en bordure de route et non loin de la gare. Hormis les ateliers de fabrication, il y avait une salle des machines comprenant une machine à vapeur et une cheminée d'usine (détruite). Une partie de la force motrice était louée à d'autres artisans qui occupaient alors l'atelier de fabrication principal, notamment Vaquette (fabricant de dièses de piano) qui rachètera une partie de l'usine (actuellement détruite, parcelle mitoyenne 188) à une date indéterminée. En 1895, création de la société Fernand Mercier, puis Mercier et Cie. En 1937, les bâtiments appartiennent à Boissy Mercier. Le bureau, l'entrepôt industriel et l'atelier de fabrication-magasin industriel sont édifiés dans les années 1950. Vers 1957, la fabrication de boutons de nacre tend à disparaître au profit du polyester arrivé des Etats-Unis. La nacre réapparaît dans les années 1970. C'est à cette époque que la maison Mercier commence à travailler avec les grandes surfaces en conditionnant les boutons par plaquettes. Dans les années 1980, la partie sud de l'usine est détruite pour la construction de logements sociaux. Actuellement, une partie de la fabrication des boutons en nacre, qui représentent 80% du chiffre d'affaire, se fait à Madagascar alors que la teinture et le conditionnement sont faits sur place. La maison Mercier travaille avec de grandes maisons de couturier comme Lanvin, Yves Saint-Laurent ou Chanel. 1893 : machine à vapeur qui a fonctionné jusque vers la Première Guerre mondiale. Puis moteur diesel monocylindrique dans les années 1960 ; électrification de l'usine vers 1965. 1893 : 48 salariés. Vers 1950 : 130 salariés ; 1998 : 11 salariés.
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description
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Bureau, entrepôt industriel, atelier de fabrication et magasin industriel en béton. Atelier de fabrication principal couvert par quatre toits successifs à longs pans, piliers en fonte et voûtains en brique au premier étage. Salle des machines avec toit en terrasse.
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étages
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1 étage carré ; étage de comble
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gros-oeuvre
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brique ; béton ; enduit
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couverture (type)
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toit à longs pans ; pignon découvert ; terrasse
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couverture (matériau)
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ardoise
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propriété
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propriété privée
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type d'étude
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patrimoine industriel
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rédacteur(s)
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Colzy Hélène
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référence
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IA60001068
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© Inventaire général
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enquête
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1998
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date versement
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2001/09/13
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date mise à jour
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2011/10/17
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Contact service producteur
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service producteur
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Conseil régional de Picardie - Service de l'Inventaire du patrimoine culturel 88, rue Gaulthier de Rumilly 80000 Amiens - 03.22.97.16.57
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