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Inventaire général du patrimoine culturel
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édifice / site
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filature et tissage de coton Manufacture cotonnière d'Oissel, puis usine de produits chimiques la Quinoleine s. a.
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localisation
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Haute-Normandie ; Seine-Maritime ; Oissel
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aire d'étude
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Seine-Maritime
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adresse
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3 rue Octave Fauquet
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dénomination
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filature ; tissage ; usine de produits chimiques
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parties non étudiées
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atelier de fabrication ; laboratoire ; entrepôt industriel ; réservoir industriel ; chaufferie ; salle des machines ; cité ouvrière ; cour
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éléments remarquables
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atelier de fabrication
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époque de construction
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1er quart 20e siècle ; 2e quart 20e siècle ; 3e quart 20e siècle
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année
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1900 ; 1910 ; 1950
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auteur(s)
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maître d'oeuvre inconnu
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historique
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Au moment de sa construction, en 1900, la Manufacture cotonnière d'Oissel se compose d'une filature de coton et d'une cité ouvrière, la cité des Gaures. L'ensemble est édifié à proximité de la gare d'Oissel le long de la ligne ferroviaire Paris-Rouen-Le Havre. En 1910, un atelier de tissage est adjoint à la filature. Dans les années 1920-1930, une nouvelle cité ouvrière dite cité Keirschner, est réalisée. En partie détruite lors de la 2e Guerre Mondiale, elle est reconstruite en 1950. En 1960, l'usine est rachetée par la société anonyme la Quinoléïne et reconvertie en usine de produits chimiques spécialisée dans la fabrication d'insecticides, d'herbicides, de fongicides et d'engrais. Cette usine est toujours en activité.
En 1900, deux tambours d'encolleuses de 2, 13 m de haut et 1, 5 m de long sont déclarés ainsi que deux chaudières d'une surface de chauffe de 140 m² et timbrées à 8 kg. En 1905, deux nouveaux cylindres d'encolleuses sont installés dans l'usine. En 1909, une chaudière à vapeur d'une surface de chauffe de 140m² et timbrée à 12 kg est déclarée.
En 1972, la Quinoléïne possède un capital de 12 000 000 francs et emploie 197 personnes. L'usine occupe 265 personnes en 1990.
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description
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Le site est desservi par une voie ferrée. L'atelier de fabrication à usage de filature est construit en brique et charpente métallique, sur deux étages carrés surmontés d'un toit en terrasse. L'atelier de fabrication à usage de tissage est construit en rez-de-chaussée, en brique et couvert en shed, tuile mécanique et verre en couverture, oculus. La chaufferie attenante à la filature est construite en brique sur 3 étages carrés surmontés d'un toit en terrasse. Elle porte la date 1900. La salle des machines en brique et charpente métallique s'élève sur un étage carré avec toit en terrasse. Le réservoir et l'entrepôt industriel sont en béton armé. La première cité ouvrière comprend plusieurs logements attenants, construits en rez-de-chaussée avec comble, en brique et tuile mécanique. La seconde cité ouvrière se compose de maisons en briques bicolores s'élevant sur un étage carré et un étage de comble, ardoise en couverture. Les logements reconstruits après guerre sont sur le même modèle que les précédents mais utilisent le parpaing de béton comme matériau de gros-oeuvre.
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élévation
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élévation à travées
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étages
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3 étages carrés ; étage de comble
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gros-oeuvre
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brique ; béton armé ; parpaing de béton
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couverture (type)
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toit à longs pans ; pignon couvert ; shed ; terrasse
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couverture (matériau)
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tuile mécanique ; verre en couverture ; ardoise
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couvrement
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charpente métallique apparente
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typologie
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baie rectangulaire ; arc segmentaire ; oculus
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propriété
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propriété privée
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type d'étude
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patrimoine industriel (agglomération de Rouen)
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rédacteur(s)
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Emmanuelle Le Roy-Real
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référence
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IA76000509
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© Inventaire général
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enquête
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1994
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date versement
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2002/12/03
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date mise à jour
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2004/12/03
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crédits photo
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Kollmann, Christophe - © Inventaire général, ADAGP
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service producteur
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Conseil régional de Haute-Normandie - Service chargé de l'inventaire
2, rue Maladrerie 76000 Rouen - 02.32.08.19.80
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