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Inventaire général du patrimoine culturel
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édifice / site
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moulin à farine dit Moulin de Nicou, puis Charbonnier, puis Scierie Lévigne
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localisation
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Auvergne ; Puy-de-Dôme ; Viscomtat
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aire d'étude
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Puy-de-Dôme
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lieu-dit
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Forêt (la)
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hydrographie
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Semaine (la)
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dénomination
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moulin à farine ; scierie
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parties non étudiées
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bief de dérivation ; cour ; atelier de fabrication ; aire des matières premières
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époque de construction
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18e siècle ; 20e siècle
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auteur(s)
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maître d'oeuvre inconnu
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historique
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Le moulin figurait sur le cadastre napoléonien de 1835. Les actes notariés du 18e siècle mentionnent un moulin à farine connu sous le nom de Moulin de Nicou en 1747. Vendu le 5 juillet 1747 à Pierre Chassonnerie, ce propriétaire est déclaré charpentier batelier. D'après l'acte, ce moulin aurait été la propriété de la Seigneurie de Vollore. Ce moulin à farine est transmis par les descendants de la lignée Chassonnerie. En 1918, Mathieu Charbonnier est déclaré comme meunier au moulin de la Forêt ; la meunerie s'arrête dans les années 1930-1940. Henri Lévigne possèdet avant la Première Guerre mondiale une scierie spécialisée dans la fabrication de caisses d'emballage et de manches en bois pour la coutellerie, installée au même emplacement. L'activité bois et farine semble avoir fonctionné conjointement. Cette scierie fabrique des manches de couteaux bouchers en " fayard " (hêtre) et des caisses en bois pour les coutelleries de Thiers tels que Cornet fils, Bourdier Morel, et de La Monnerie-le-Montel (Planche Jeune) , et des manches de couteaux pour Chambon au Moulin-Planche à Celles-sur-Durolle (IA63001151). Joannès Lévigne, fils d'Henri, reprend l'activité vers 1951-1952. La scierie fonctionne actuellement, elle est gérée par la troisième génération (caisserie, charpente, palette, sciage à façon). En 1946, un recensement des Ponts et Chaussées mentionne une chute d'eau de 4 mètres, avec une puissance disponible de 5 KW pour une puissance totale de 9 ch. La roue hydraulique verticale n'existe plus. A l'extérieur, il reste l'arbre et le chabet (partie en pierre sur laquelle repose la tête de l'arbre de la roue) de l'ancienne roue. A l'intérieur du moulin, a été conservée la machinerie (engrenage, axe, poulie). Présence de 2 machines à découper par scie : 1 scie Bonino et 1 scie Bertrand & Garcin. Existence d'un fonds d'archives privées.
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description
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Seul le moulin, à un étage carré, est construit en moellon de granite, il est couvert d'un toit à deux pans en tuile mécanique et est aujourd'hui crépi. Il est implanté en rive gauche d'un bief de dérivation du ruisseau dit de Fonghas, affluent de la Semaine. Les bâtiments de la scierie, en rez-de-chaussée, sont construits en parpaings de béton, au nord, à l'est et à l'ouest de l'ancien moulin à farine. L'écluse et une vanne ont été comblées lors de travaux d'agrandissement de la scierie. L'ancien bief ne figure plus sur le cadastre de 1982, il est devenu prairie et épouse la limite de section entre les parcelles 186 et 184. Le site est localisé en limite communale, le département de la Loire est limitrophe avec la commune de Noirétable.
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étages
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1 étage carré
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gros-oeuvre
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moellon ; granite ; parpaing de béton ; crépi ; ciment ; béton
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couverture (type)
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toit à deux pans
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couverture (matériau)
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tuile mécanique
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propriété
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propriété privée
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site protégé
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parc naturel régional
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type d'étude
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enquête thématique régionale (enquête partielle : patrimoine industriel de la Montagne thiernoise)
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rédacteur(s)
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Journaix Axelle
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référence
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IA63001176
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© Région Auvergne - Inventaire général du patrimoine culturel ; © Ville de Thiers ; © Communauté de communes de la Montagne thiernoise
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enquête
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2006
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date versement
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2008/01/31
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date mise à jour
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2014/03/27
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dossier en ligne
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Contact service producteur
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service producteur
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Conseil régional d'Auvergne - Service régional de l'Inventaire 13-15, avenue de Fontmaure - BP 60 - 63402 Chamalières - 04.73.31.85.29
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