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Inventaire général du patrimoine culturel
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édifice / site
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Manoir dit du Treuil
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localisation
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Poitou-Charentes ; Deux-Sèvres ; Celles-sur-Belle
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aire d'étude
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Celles-sur-Belle
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lieu-dit
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le Treuil
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adresse
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impasse des Tourterelles ; rue du Logis
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destinations successives
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maison
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dénomination
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manoir
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parties non étudiées
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cour ; logement ; remise
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époque de construction
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Temps modernes ; 2e moitié 18e siècle
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auteur(s)
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maître d'oeuvre inconnu
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historique
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Le manoir du Treuil a été bâti à une époque inconnue, peut-être au 15e ou au 16e siècle. Avant la seconde moitié du 17e siècle, il a été donné à la mense abbatiale de Notre-Dame de Celles pour former le revenu des chapelles Saint-Pierre du Treuil et de la Trinité. Ce manoir est alors devenu une métairie de rapport. Plusieurs états des lieux (entre 1662 et 1762) décrivent cette métairie, mais non le logement secondaire. Vendu à la Révolution comme bien de 1ère origine, il a été adjugé le 28 mars 1791 à Charles Rouget la Fosse, demeurant à Niort. En 1822, lors de l'établissement de l'ancien plan cadastral, les parcelles B 161 à 170 appartenaient toujours à Charles [II] Rouget la Fosse, demeurant à Celles, à proximité de cette ferme, dans la propriété devenue depuis peu la mairie de Celles. A cette époque le logis de l'ancien manoir (B 168) était imposé pour six ouvertures et un logement secondaire (B 162) pour quatre ouvertures. Ce dernier, situé au bout de la rue du Logis, pourrait avoir été bâti dans la seconde moitié du 18e siècle et exhaussé dans la seconde moitié du 19e siècle. Acquis vers 1862 par Jean Pelloquin fils, aubergiste au Treuil ; sa famille y demeura jusque vers 1882. Vers 1884, après l'installation de leur fils Victor comme huissier à Celles, la propriété est vendue au Bourloton. Quant au logis principal, il a subi des remaniements multiples et extérieurement seule la tour d'escalier est un vestige de cet ancien manoir. Il est divisé en deux propriétés.
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description
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Le logis principal présente sa façade, à trois travées et porte centrale, sur le mur pignon nord-est. Les ouvertures ont été modifiées et la fenêtre de droite au rez-de-chaussée a été agrandie. La partie nord-ouest a été reconstruite en parpaings. L'élévation nord-ouest sur l'impasse a conservé quelques baies dont l'encadrement pourrait dater de la fin du 19e ou du début du 20e siècle. Les baies de l'élévation sud-est, au sud de la tourelle d'escalier, ont également été modifiées (appuis en béton, baie murée, porte ouverte). L'accès au logis secondaire, rue du Logis, se faisait par un portail à piles moulurées et une allée. Ce logement, qui présente sa façade, à trois travées et porte centrale, sur le mur gouttereau nord, se distingue par les frontons triangulaires moulurés surmontant les portes des élévations antérieure et postérieure.
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élévation
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élévation à travées ; élévation ordonnancée
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étages
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rez-de-chaussée ; 1 étage carré
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escaliers
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escalier hors-oeuvre : escalier en vis sans jour ; en maçonnerie
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gros-oeuvre
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calcaire ; moellon ; parpaing de béton ; enduit
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couverture (type)
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toit à longs pans ; pignon couvert ; toit à longs pans ; croupe
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couverture (matériau)
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tuile creuse
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décor
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sculpture
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représentation
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ornement à forme architecturale ; fronton ; pilastre
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Les linteaux des portes des élévations antérieure et postérieure sont surmontés d'un fronton triangulaire mouluré. Les piles maçonnées de l'ancien portail d'accès sont ornées de pilastres cannelés.
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propriété
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propriété privée
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type d'étude
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inventaire topographique
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rédacteur(s)
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Pon Charlotte ; Liège Aurélie
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référence
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IA79001512
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© Inventaire général
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enquête
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2002
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date versement
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2005/07/11
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date mise à jour
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2011/10/17
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crédits photo
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Pon, Charlotte - © Inventaire général, ADAGP
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Contact service producteur
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