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Inventaire général du patrimoine culturel
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édifice / site
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briqueterie
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localisation
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Centre ; Indre-et-Loire ; Monnaie
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aire d'étude
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Indre-et-Loire
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lieu-dit
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Feuillée (la)
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dénomination
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briqueterie
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parties non étudiées
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atelier de fabrication ; maison ; hangar industriel
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époque de construction
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19e siècle ; 20e siècle
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année
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1879 ; 1945 ; 1882
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auteur(s)
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maître d'oeuvre inconnu
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historique
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Briqueterie construite en 1879, sur une terre lui appartenant par Pierre Richer-Demeuré, tuilier, et comprenant 1 four et 1 halle. En 1882, une autre halle est construite et en 1883 un second four. En 1898-99, le site passe à sa veuve, puis à Michel et Charles Richer, tuiliers, enfin en 1909, au seul Michel Richer-Bergerault. En 1910, Henri Plisson-Pinet en prend possession et procède en 1917 à un début de motorisation de la briqueterie, avec broyeur à moteur à essence. En 1923, son gendre Maxime Milon-Plisson lui succède, lequel fera détruire l'un des fours en 1928. En 1941, le site passe à Marcelle Milon et en 1945 à Monsieur Dochterman. Le second four à ciel ouvert et les bâtiments existants sont alors détruits et 3 hangars et 2 fours-tunnels sont construits. L'activité a cessé sur le site au début des années 1950. Les 2 fours-tunnels ont été détruits en 1954-55 et seuls les 3 hangars ont été conservés. Actuellement, ces hangars et la cour servent de garage pour des véhicules et caravanes du cirque Pinder. On relève les employés sur le site : en 1887 et 1897, Pierre Richer-Demeuré, fabricant de briques et 6 ouvriers ; en 1907, Michel Richer et 5 ouvriers ; en 1919, Henri Plisson-Pinet et 3 ouvriers ; enfin en 1828-32, les mêmes que précédemment plus Maxime Milon-Plisson. Cette briqueterie a toujours été exploitée par ses propriétaires. Durant le 4ème trimestre de 1885, Pierre Richer a employé 4 ouvriers qui recevaient 2, 50 à 3, 60 francs pour une journée de 12 h et 5 enfants de 1 à 1, 25 franc pour le même temps.
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description
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Les fours de 1879 et 1883 étaient à ciel ouvert, à feu intermittent et flammes longues, de capacité utile non déterminée mais ne devant pax excéder 20 à 25 m3 chacun. Les 2 fours de 1945, du type tunnel, à feu continu, étaient chauffés par le bas au charbon, leur capacité ne nous est pas connue. La matière première était prélevée en surface à proximité de la briqueterie, au Sud. Les fours ayant été détruits, aucune observation ne peut être faite. L'on sait, sans plus, que l'un des fours à ciel ouvert était à sole sur 3 arches et le second sur 4 arches. Deux des hangars de 1945, toujours en état, sont à murs en brique, l'un Est-Ouest a une emprise de 50 X 25 m, l'autre Nord-Sud où se trouvaient les 2 fours-tunnels a une emprise de 37, 50 X 25 m. Le troisième hangar à bardage en tôle ondulée a 37, 50 X 25 m d'emprise. Ces trois hangars sont à ossature métallique, poteaux et fermes, et couverture en tôle ondulée galvanisée. Le site était desservi par une voie particulière. Il était équipé à compter de 1917, d'un moteur thermique (essence) et à compter de 1945, de moteurs à essence et électriques ; en 1887, de deux presses à bras ; en 1907, un broyeur à manège, un malaxeur à manège et deux presses à bras ; en 1919, une machine à broyer, un malaxeur à manège, une coupeuse à bras et une presse à bras ; en 1945, mécanisation avec broyeur, malaxeur, mouleuse et filière, coupeuse. La surface totale était de 10 310 m². A compter de 1945, la surface bâtie était de 3 324 m².
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état
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vestiges
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propriété
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propriété privée
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type d'étude
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enquête thématique régionale (usines de céramique - fours à chaux - cimenteries d'Indre-et-Loire) (documentation préalable) ; patrimoine industriel
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rédacteur(s)
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Thomas Jacques
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référence
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IA37001685
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© Inventaire général
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enquête
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1998
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date versement
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2004/05/07
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