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Inventaire général du patrimoine culturel
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édifice / site
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Usine de construction navale Decout-Lacour, puis Delmas-Vieljeux, puis Chantiers navals de La Rochelle-Pallice, puis ACRP, puis SNACRP ; actuellement Société rochelaise de Mécanique
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localisation
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Poitou-Charentes ; Charente-Maritime ; La Rochelle
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aire d'étude
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Charente-Maritime
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lieu-dit
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la Pallice
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destinations successives
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usine de construction mécanique
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dénomination
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usine de construction navale
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parties non étudiées
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atelier de fabrication ; bureau d'entreprise ; bassin de radoub ; bassin de port
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éléments remarquables
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machine de production (étudiée dans la base Palissy)
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objets mobiliers
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époque de construction
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1er quart 20e siècle ; 3e quart 20e siècle
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année
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1967
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auteur(s)
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maître d'oeuvre inconnu
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historique
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L'usine de construction navale Decout-Lacour s'installe au début du siècle. Elle loue les deux formes de radoub construites en même temps que le port, dans les années 1880. Elle est rachetée en 1921 par la Cie Delmas-Vieljeux (déjà propriétaire d'une flotte commerciale de 19 bateaux et d'une usine de fabrication de boulets et briquettes de charbon) , pour devenir plus tard les Chantiers navals de La Rochelle-Pallice, s'occupant, après la guerre, de la réparation des liberty-ships et se lançant, à partir de 1948, dans la construction neuve, puis plus tard dans la mécanique générale. Cette entreprise fusionné en 1961 avec les Ateliers de Construction rochelaise du Gabut et prend le nom d'Ateliers et Chantiers de La Rochelle-Pallice (ACRP). Suite à un incendie, en 1967, les bâtiments situés au sud des cales sont reconstruits. Rachetés en 1970 par les Ateliers et Chantiers du Havre, ils deviennent la Société des Ateliers et Chantiers de La Rochelle-Pallice (SNACRP) , spécialisée dans la construction et la réparation de navires avec un secteur mécanique et chaudronnerie. Après la fermeture de cette société en 1986, le secteur mécanique et chaudronnerie est repris en 1987 par la Société rochelaise de Mécanique pour la conception et la réalisation de pièces de précision, dans les anciens locaux dévolus à ce secteur partiellement rénovés. Les autres locaux des anciens chantiers navals sont occupés par plusieurs sociétés, telles que Sidermétal, la Serni, la Rochelle-Navale-Industrie. Une mortaiseuse de 1939 (étudiée) fonctionne toujours, ainsi qu'un compresseur à air à piston de 1920 de Inger Soll Rand Company (New York, USA) , qu'il n'a pas été possible de photographier. En 1975, environ 1300 personnes y travaillent, en 1986 : 840. En 1987, la SRM emploie 32 personnes.
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description
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Site industriel desservi par voie navigable et embranchement ferroviaire. Atelier de fabrication de la Société rochelaise de Mécanique partiellement en moellon de calcaire enduit et en parpaing de béton, couvert de sheds pour sa partie centrale et de toits à longs pans pour les parties latérales. Bureau en moellon enduit et bardage de bois, à un étage carré, couvert d'un toit à longs pans en tuile mécanique. Atelier de 1967 partiellement en béton armé, en pan de métal et parpaing de béton, couvert d'un toit à longs pans en ciment amiante. Bassins de radoub en pierre de taille.
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étages
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1 étage carré
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gros-oeuvre
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calcaire ; moellon ; enduit ; pierre de taille ; béton ; parpaing de béton ; béton armé ; métal ; pan de métal
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couverture (type)
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shed ; toit à longs pans ; pignon couvert
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couverture (matériau)
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tuile mécanique ; ciment amiante en couverture
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couvrement
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charpente métallique apparente
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propriété
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propriété privée
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type d'étude
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patrimoine industriel
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rédacteur(s)
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Pouvreau Pascale
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référence
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IA17000241
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© Inventaire général
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enquête
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1996
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date versement
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2000/08/30
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date mise à jour
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2011/07/26
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Contact service producteur
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service producteur
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Conseil régional de Poitou-Charentes - Service chargé de l'inventaire 102, Grand'Rue - BP 553 86020 Poitiers Cedex - 05.49.36.30.30
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