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Inventaire général du patrimoine culturel
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édifice / site
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Usine de produits explosifs (moulin à poudre) dite Poudrerie Royale, puis Poudrerie Nationale, actuellement Sté Nationale des Poudres et Explosifs de Saint-Médard-en-Jalles.
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localisation
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Aquitaine ; Gironde ; Saint-Médard-en-Jalles
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aire d'étude
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Gironde
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lieu-dit
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la Poudrerie
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hydrographie
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la jalle de Blanquefort
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dénomination
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moulin ; usine de produits explosifs
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parties non étudiées
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atelier de fabrication ; atelier de réparation ; bureau d'entreprise ; infirmerie ; bains douches ; cantine ; entrepôt commercial ; magasin industriel ; château d'eau ; jardin d'agrément
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éléments remarquables
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machine de production
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époque de construction
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14e siècle (détruit) ; 3e quart 17e siècle ; 4e quart 18e siècle ; 1er quart 19e siècle ; 4e quart 19e siècle ; 1er quart 20e siècle ; 2e quart 20e siècle ; 3e quart 20e siècle ; 4e quart 20e siècle
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année
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1660 ; 1783 ; 1818 ; 1886
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auteur(s)
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maître d'oeuvre inconnu
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historique
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Construction par le sieur Duperrier, en 1660, de 6 moulins à poudre, sur les ruines d'un moulin à foulon datant du 14e siècle. Ils deviennent Poudrerie Royale en 1679. Deux des moulins en activité sont successivement agrandis en 1783 et 1818. Au 19e siècle, la Poudrerie Nationale prend une extension considérable avec la construction d'un château pour loger le directeur et la création d'une unité de fabrication de poudre à la nitrocellulose. Paul Vieille, ingénieur des poudres, lance et dirige cette production en 1886. Le site ne cesse de s'étendre : nouvelles constructions vers 1919, 1945, 1955, 1971, 1989, afin de s'adapter aux fabrications. Cette usine est unique en Europe par son large éventail de produits finis : 1 000 fabrications allant de 1, 5 grammes à 30 tonnes. La Sté nationale des poudres et explosifs (S.N.P.E.) produit des propulsifs composites pour missiles et des propergols solides pour moteurs de fusées. 1818 : 2 roues horizontales. 1990 : malaxeurs, laminoirs, presses, centrale électrique fournissant 80 pour cent des besoins prioritaires. 1817 : 12 ouvriers. 1914 : 14 500. 1939 : 16 000. 1961 : 1 300. 1990 : 1 715 dont 228 ingénieurs. Existence d'un fonds d'archives privées.
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description
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800 bâtiments, dispersés sur 1 000 hectares, sont construits suivant un modèle précis répondant aux normes internationales de sécurité. Les bâtiments, séparés par des merlons, sont sans étages et sans vitres : ceux construits vers 1919 sont en béton armé et toit en ciment amiante, ceux de 1945 sont en béton armé avec un toit terrasse et ceux construits en 1955 sont en béton armé avec charpente métallique. Les bureaux, bâtiments inertes, sont en brique ou matériau synthétique. Surface bâtie en m2 : 160000.
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étages
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en rez-de-chaussée
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gros-oeuvre
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béton armé ; métal ; essentage de tôle ; brique ; matériau synthétique en gros oeuvre
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couverture (type)
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terrasse ; toit à longs pans
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couverture (matériau)
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béton en couverture ; ciment amiante en couverture
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couvrement
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charpente métallique apparente
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typologie
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baie rectangulaire
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propriété
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propriété privée
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type d'étude
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repérage du patrimoine industriel
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rédacteur(s)
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Kabouche Marie
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référence
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IA00135898
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© Inventaire général
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enquête
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1990
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date versement
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1997/01/10
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date mise à jour
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2011/07/26
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Contact service producteur
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service producteur
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Conseil régional d'Aquitaine - Service chargé de l'inventaire 54, rue Magendie 33077 Bordeaux Cedex - 05.57.95.02.02
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