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Inventaire général du patrimoine culturel
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édifice / site
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église paroissiale Sainte-Catherine
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localisation
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Nord-Pas-de-Calais ; Nord ; Lille
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aire d'étude
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Lille centre
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adresse
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Terrasse Sainte-Catherine
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dénomination
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église paroissiale
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objets mobiliers
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époque de construction
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4e quart 15e siècle ; 1ère moitié 16e siècle ; 4e quart 17e siècle ; 3e quart 19e siècle ; 3e quart 20e siècle
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siècle détail
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1ère moitié 18e siècle
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auteur(s)
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maître d'oeuvre inconnu
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historique
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La paroisse est attestée en 1273, mais l'église actuelle ne date que de la fin du 15e siècle et du début du 16e siècle. La nef est en cours de construction en 1485-1487 et la tour est achevée entre 1500 et 1504. Un nouveau choeur est élevé entre 1539 et 1542. L'agrandissement des chapelles qui l'encadrent est envisagé dès 1688, mais 2 travées ne les prolongent qu'en 1724-1725, côté nord, et 1726-1727, côté sud. L'église doit son homogénéité à plusieurs campagnes de travaux. La première, menée en 1689-1691, vit notamment la disparition de la double série d'arcs-ponts qui formaient un faux transept à hauteur de la quatrième travée. La seconde, de 1857 à 1862, dota l'édifice d'un remarquable décor néo-gothique flamboyant, avec fausses voûtes d'ogives en plâtre sur lattis, oeuvre des Lillois Charles Buisine-Rigot (1820-1893) , sculpteur, Eugène Caroline Castel veuve Detroye (1801-1881) , plafonneur, et Charles Stalars (1808-1876) , peintre. Un siècle plus tard, l'état des toitures nécessita une intervention. A l'heure où la critique s'abattait sur le pastiche, on en profita pour "dérestaurer" le monument (1964-1970).
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description
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L'église se compose en plan de 3 vaisseaux de 4 travées qui précèdent une tour carrée, hors oeuvre, placée devant la nef centrale. Le choeur, dont les travées droites sont flanquées de chapelles latérales à chevet plat, se termine par une abside à 5 pans. Il s'agit d'une église-halle : l'édifice ne comporte qu'un niveau et tous les vaisseaux sont de même hauteur et de même largeur. A l'intérieur, d'amples arcades en arcs brisés reposent sur des piles et colonnes de grès. Chaque vaisseau est couvert d'un plafond en berceau lambrissé, à liernes et nervures secondaires, autrefois doté d'entraits et de poinçons. Les travaux de la fin du 17e siècle les ont remplacés par des ancres en fer forgé. L'absence de voûte explique l'implantation irrégulière des contreforts et des percements.
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plan
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plan allongé
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étages
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3 vaisseaux
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escaliers
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escalier dans-oeuvre
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gros-oeuvre
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calcaire ; grès ; pierre de taille
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couverture (type)
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toit à longs pans ; terrasse
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couverture (matériau)
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ardoise ; pierre en couverture
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couvrement
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fausse voûte en berceau brisé
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état
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mauvais état
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propriété
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propriété de la commune
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protection MH
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1991/08/23 : classé MH
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type d'étude
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opération ponctuelle
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rédacteur(s)
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Vienne Frédéric ; Chantal Julie
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référence
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IA59001050
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© Inventaire général ; © Ville de Lille
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enquête
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2000
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date versement
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2002/09/25
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date mise à jour
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2012/02/27
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crédits photo
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Petitberghien, Thierry - © Inventaire général, ADAGP
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service producteur
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Conseil régional du Nord - Pas-de-Calais - DAIRE
151 Bd Hoover 59555 Lille Cedex - 03 28 82 67 40
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autre dossier
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dossier de protection
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