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Inventaire général du patrimoine culturel
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édifice / site
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hôtel Bourjade
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localisation
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Midi-Pyrénées ; Tarn-et-Garonne ; Montauban
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aire d'étude
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Montauban
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lieu-dit
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Mandoune
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adresse
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16 rue de la Comédie
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dénomination
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hôtel
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parties non étudiées
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cour ; communs ; escalier indépendant ; communs ; portail
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époque de construction
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limite 17e siècle 18e siècle (?) ; 4e quart 18e siècle ; 19e siècle
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siècle détail
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1er quart 21e siècle
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année
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1782
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auteur(s)
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maître d'oeuvre inconnu
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personnalité(s)
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Léon Bourjade (habitant célèbre)
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historique
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D'après Robert de Mentque, l'édifice aurait été construit ou modernisé autour de 1782 (date qui était inscrite sur le heurtoir qui a été volé). Il se trouve à l'emplacement de l'ancien hôtel de Paulet qui datait du 16e siècle. Les fenêtres en anse-de-panier donnant sur la rue pourraient être du 17e siècle mais l'édifice a été remanié. L'appareillage d'un mur situé au fond de la parcelle alterne briques épaisses et briques longues. Il s'agit d'un remploi de briques médiévales à la période moderne. Au cours du 18e siècle, les salons du premier étage sont décorés dans le style Louis XV. D'autres aménagements décoratifs sont réalisés au cours du 19e siècle comme en témoigne la présence d'ornements en carton-pierre sur les cheminées. Le balcon parcourant le premier étage de la façade sur rue est probablement rajouté au cours de ce siècle. C'est dans cette demeure qu'est né en 1889, le père Léon Bourjade, missionnaire et aviateur. En 2009 sont entrepris des travaux de réhabilitation, ils se terminent fin 2010.
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description
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L'édifice reprend la disposition habituelle des édifices construits le long des anciens fossés. Il est élevé sur une large parcelle en dénivelé, il dispose d'une façade rue de la Comédie et domine de l'autre côté le ravin de la Mandoune. L'hôtel se compose de trois corps de bâtiment. Côté rue, la façade et enduite à l'exception des encadrements des ouvertures. Elle se divise en quatre niveaux. Au rez-de-chaussée sont aménagées deux boutiques et une entrée cochère encadrée de pilastres. Les niveaux supérieurs sont percés chacun de cinq baies en anse-de-panier. Un balcon se développe au premier étage, le long des trois premières ouvertures. La porte cochère ouvre sur un passage menant à la cour. Les façades de la cour sont enduite à l'exception des encadrements des ouvertures. Le rez-de-cour du bâtiment Sud s'ouvre le passage et une porte rectangulaire, les premier et deuxième étages sont percés de grandes baies surbaissées, tandis que le dernier étage est percé de deux baies rectangulaires. Une corniche sommitale couronne l'ensemble. Le bâtiment ouest abrite l'escalier d'apparat. On entre dans la cage d'escalier par une grande arcade encadrée par des pilastres doriques soutenant un entablement et une corniche. La façade se compose de quatre niveaux, au dernier étage se developpe une coursive protégée par un garde-corps en fonte. A cet endroit, la bordure de la toiture est agrémentée d'un lambrequin. Les deux premières volées de l'escalier sont en pierre et agrémentées d'une rampe en fer forgé à motifs en épingles à cheveux et de flammes. La deuxième volée, desservant la coursive du premier étage repose sur une demie-voûte. Côté Mandoune, au bas de l'édifice se développe un parterre fermé sur la rue par un mur et un portillon. La façade de l'édifice est enduite en blanc et rose. Un escalier droit permet de rejoindre un rez-de-chaussée surélevé. Les trois fenêtres surbaissées du premier étage sont séparées des autres niveaux par deux cordons moulurés. Les autres niveaux sont également percés de trois fenêtres surbaissées. Une corniche sommitale couronne l'ensemble de la façade.
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élévation
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élévation ordonnancée sans travées
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étages
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sous-sol ; étage de soubassement ; rez-de-chaussée ; 3 étages carrés
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escaliers
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escalier intérieur : escalier tournant à retours avec jour, en maçonnerie, en charpente ; escalier isolé : escalier droit, en maçonnerie ; ascenseur
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gros-oeuvre
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brique ; enduit
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couverture (type)
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toit à longs pans
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couverture (matériau)
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tuile creuse
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décor
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décor stuqué ; menuiserie ; fonderie ; ferronnerie ; maçonnerie
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représentation
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ornement à forme géométrique ; volute ; feuillage ; acanthe ; fleur ; ornement : minéral ; monogramme ; ornement à forme géométrique
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L'étage noble conserve des pièces lambrissées et des gypseries de style Louis XV. La rampe de l'escalier de distribution est composé d'un décor d'épingles à cheveux et de flammes.
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propriété
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propriété privée
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site protégé
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secteur sauvegardé
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type d'étude
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inventaire topographique
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rédacteur(s)
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Gerber Sarah
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référence
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IA82100228
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© Ville de Montauban ; © Inventaire général Région Midi-Pyrénées
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enquête
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2009
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date versement
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2016/10/04
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date mise à jour
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2016/10/07
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dossier en ligne
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